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Les bienfaits insoupçonnés de la vie avec un chien 🐶

Les bienfaits insoupçonnés de la vie avec un chien 🐶

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Plusieurs études confirment ce que beau­coup de maîtres res­sentent intui­ti­ve­ment : la pré­sence d’un chien dans une vie n’est pas sim­ple­ment une com­pa­gnie, mais un sou­tien pour la santé — tant phy­sique que mentale.

Selon cer­taines recherches, les pro­prié­taires de chiens ver­raient leur risque de mor­ta­lité dimi­nuer de 24 %, et leur risque de subir une attaque car­diaque de 31 %. De plus, une autre étude du Centre Médical de l’Université du Michigan, publiée en février 2022 et relayée par EurekAlert!, ren­force cette ten­dance : vivre avec un ani­mal de com­pa­gnie pen­dant cinq années ou davan­tage per­met­trait de réduire le stress et de ralen­tir le déclin cog­ni­tif.

Ces chiffres sont élo­quents : au-​delà du simple lien affec­tif, le chien (ou le chat) exerce une influence pro­fonde sur notre santé glo­bale. Peut-​être est-​ce l’une des rai­sons pour les­quelles la France figure parmi les pays d’Europe où l’on compte le plus d’animaux domestiques.

Combien de chiens en France, Belgique, Suisse ? 🐕📊

Les chiffres pré­cis fluc­tuent selon les sources, les recen­se­ments et les défi­ni­tions (chiens enre­gis­trés, iden­ti­fiés ou esti­més). Voici quelques repères :

  • En France, on parle fré­quem­ment de 7,6 mil­lions de chiens.
  • En Belgique, une esti­ma­tion récente avance envi­ron 2 029 000 chiens.
  • En Suisse, les chiffres sont plus modestes : envi­ron 500 000 chiens.

Ces chiffres illus­trent l’ampleur de la rela­tion entre humains et chiens dans nos socié­tés modernes — une rela­tion qui porte en elle un poten­tiel de bien-​être sou­vent sous-estimé.

L’« effet miroir » : quand l’animal reflète son humain ✨

Qu’est-ce que l’effet miroir entre un chien et son maître ?

On uti­lise l’expression « effet miroir » pour dési­gner cette dyna­mique fas­ci­nante selon laquelle un ani­mal de com­pa­gnie va reflé­ter, consciem­ment ou non, l’état émo­tion­nel, psy­chique ou éner­gé­tique de son propriétaire.

A ce sujet, pour les inté­res­sés, je recom­mande la lec­teur de ce livre, L’animal miroir – L’autre soi de Nathalie Hirt. 

Lien de com­mande : https://amzn.eu/d/8qIzH1a

L’animal miroir – L’autre soi de Nathalie Hirt.

Ce livre invite le lec­teur à envi­sa­ger l’animal non comme un simple com­pa­gnon, mais comme un miroir vivant de notre monde inté­rieur. L’auteure pro­pose des exer­cices pra­tiques, des ana­lyses et des exemples concrets pour mon­trer com­ment l’observation de son ani­mal per­met d’identifier et de trans­for­mer ses propres sché­mas émotionnels.

👉 Idée clé : ana­ly­ser l’animal pour mieux s’analyser soi-​même et enri­chir toutes ses relations.

Pour celles et ceux qui sou­haitent aller à la ren­contre de Nathalie Hirt, vous pou­vez la retrou­ver sur le replay de la confé­rence qu’elle a don­née l’été der­nier dans le cadre du Sommet mon­dial du bien-​être ani­mal. Lien vers sa confé­rence « Initiation à la com­mu­ni­ca­tion animale » :

Certains pra­ti­ciens pré­fèrent par­ler d’effet de réso­nance, afin d’atténuer l’idée d’un lien pas­sif où l’animal n’aurait aucun choix — mais plu­tôt une mani­fes­ta­tion har­mo­nique entre deux êtres sensibles.

Quand le rap­pro­che­ment entre l’animal et son humain s’installe — com­pli­cité, pré­sence quo­ti­dienne, échanges non ver­baux — l’effet miroir peut se mani­fes­ter plus inten­sé­ment. C’est dans cette proxi­mité que les signaux sub­tils, les res­sen­tis, les émo­tions non for­mu­lées peuvent se “mur­mu­rer” entre les deux.

Un exemple inspirant : le chien LOL, premier chien d’assistance judiciaire en France 🐕⚖️

Si les chiens d’assistance sont déjà bien connus dans les domaines du han­di­cap ou du sou­tien aux per­sonnes vul­né­rables, une nou­velle mis­sion se des­sine : celle de chien d’assistance judiciaire.

C’est le rôle attri­bué au chien LOL, un labra­dor formé par l’association Handi’Chiens, fon­dée il y a plus de 30 ans par Marie-​Claude Lebret. Jusque-​là, les 2 500 chiens attri­bués par l’association inter­ve­naient auprès d’enfants et d’adultes autistes, tri­so­miques, épi­lep­tiques ou encore de per­sonnes vic­times de stress post-​traumatique. Avec LOL, on fran­chit une étape sup­plé­men­taire : il accom­pa­gnera désor­mais des enfants ame­nés à témoi­gner dans un cadre judi­ciaire. Dans un uni­vers sou­vent inconnu, impres­sion­nant et anxio­gène, le chien LOL repré­sente une pré­sence ras­su­rante et apai­sante, faci­li­tant la prise de parole. L’idée de cette ini­tia­tive vient du pro­cu­reur Frédéric Almendros, qui connais­sait les expé­riences menées aux États-​Unis et au Canada. Il a sou­haité mettre en place le même dis­po­si­tif à Cahors, en s’appuyant sur un centre label­lisé par l’État. Handi’Chiens était tout indi­qué pour rele­ver ce défi inédit en France.

La sélec­tion de LOL s’est faite avec soin. Parmi les chiens dis­po­nibles, il fal­lait trou­ver un pro­fil très par­ti­cu­lier, avec les qua­li­tés suivantes :

  • calme et attentif,
  • capable de res­ter impas­sible comme un garde de Buckingham Palace,
  • insen­sible aux per­tur­ba­tions exté­rieures (portes qui claquent, pas­sages d’avocats, bruits divers),
  • déga­geant une séré­nité natu­relle afin d’inspirer confiance aux enfants comme aux adultes.

La for­ma­tion exi­geante sui­vie par le chien LOL vise à faire de lui un véri­table pilier de séré­nité, capable d’apporter du récon­fort dans les situa­tions les plus sensibles.

Quand la science explique les bienfaits insoupçonnés de la présence d’un chien

La pré­sence d’un chien a quelque chose d’unique : il ne juge pas, ne cri­tique pas, et accueille son humain tel qu’il est. Cette atti­tude bien­veillante crée un cli­mat de confiance où l’on peut se livrer sans crainte, sans norme sociale à respecter.

Ce que l’on res­sent intui­ti­ve­ment est aujourd’hui confirmé par la science : de nom­breuses études montrent que la simple inter­ac­tion avec un chien entraîne une réduc­tion du stress, une dimi­nu­tion du rythme car­diaque et une meilleure régu­la­tion émotionnelle.

Ces effets posi­tifs reposent notam­ment sur l’action de deux hor­mones clés : le cor­ti­sol, sou­vent sur­nommé « l’hormone du stress », et l’ocytocine, que l’on appelle volon­tiers « l’hormone du lien et de l’attachement ».

Comprendre leur rôle nous aide à mieux sai­sir pour­quoi les pro­prié­taires de chiens vivent en moyenne plus long­temps, avec un meilleur équi­libre phy­sique et psychologique.

Cortisol et ocytocine : hormones du stress et du bien-être

  • Le cor­ti­sol : hor­mone du stress, pro­duite par les glandes sur­ré­nales. Utile ponc­tuel­le­ment pour mobi­li­ser des res­sources, mais nocive si éle­vée trop long­temps (hyper­ten­sion, inflam­ma­tions, fatigue).
  • L’ocytocine : hor­mone du lien, libé­rée dans les inter­ac­tions affec­tives. Elle favo­rise la confiance, réduit l’anxiété et ren­force les relations.

Ces deux hor­mones s’équilibrent et déter­minent lar­ge­ment notre état émotionnel.

Un excès par exemple de cor­ti­sol favorise :

  1. les mala­dies car­dio­vas­cu­laires (hyper­ten­sion, infarctus),
  2. les troubles diges­tifs (syn­drome de l’intestin irritable),
  3. les troubles anxieux ou la dépres­sion.

La pré­sence d’un chien peut contri­buer gran­de­ment à réduire ces risques grâce à son effet apaisant.

Relations homme-​chien : une approche interdisciplinaire 🧠💡

L’étude du lien homme-​chien béné­fi­cie de plu­sieurs approches : étho­lo­gie, psy­cho­lo­gie, neu­ros­ciences, com­mu­ni­ca­tion ani­male. Cela per­met de :

  • mieux com­prendre les comportements,
  • ana­ly­ser l’effet miroir et ses impacts,
  • ren­for­cer une rela­tion équi­li­brée, res­pec­tueuse et bienfaisante.

Comment choisir un chien thérapeute ? 🐕‍⚕️

Si l’on sou­haite qu’un chien accom­pagne des humains dans des contextes sen­sibles (homes, hôpi­taux, pro­cé­dures judi­ciaires), il doit répondre à cer­tains critères :

  • Tempérament : calme, sociable, patient, équilibré,
  • Stabilité émo­tion­nelle : gérer le stress et les envi­ron­ne­ments bruyants,
  • Adaptabilité : être à l’aise dans des lieux variés,
  • Bonne santé : phy­sique et psychologique.

⚠️ Tous les chiens ne conviennent pas. L’animal n’est pas un “pan­se­ment” : il a aussi ses besoins. Une adop­tion irré­flé­chie peut deve­nir une contrainte, sur­tout si l’humain n’est pas prêt à s’investir dans une rela­tion gagnant-gagnant.

Vanda, mon berger blanc suisse : un projet thérapeutique 💖

Tout cela me ramène à mon his­toire per­son­nelle : le choix de ma Vanda, mon rayon de soleil.

Caractéristiques du berger blanc suisse

C’est une race équi­li­brée, sen­sible, loyale et atten­tive à son maître. Ces chiens sont intel­li­gents, proches de l’humain et adap­tés aux acti­vi­tés de média­tion animale.

Nos projets avec Vanda

Vanda a aujourd’hui un an. Mon rêve est de l’emmener en mai­sons de retraite pour appor­ter récon­fort et sou­rires. Elle devra pas­ser un test à ses deux ans, puis suivre une for­ma­tion spé­cia­li­sée. Nous avons déjà com­mencé les entraî­ne­ments : mar­cher au pied d’un rol­la­tor, apprendre le “assis” ou le “donne”, etc. mais le che­min reste encore long avec nos pre­mières visites. Sa viva­cité d’aujourd’hui demande aussi des exer­cices de cana­li­sa­tion. C’est aussi pour cette rai­son que je trouve le dog dan­cing comme une dis­ci­pline idéale pour l’amener à offrir joie, sou­rires et inter­ac­tions aux pen­sion­naires qu’elle pour­rait être ame­née à visiter.

Et pour moi, cela reste une double moti­va­tion : enri­chir la vie des autres tout en conso­li­dant ma rela­tion avec Vanda. Fabienne & Vanda

Pour nous suivre, retrou­vez nos pro­chaines vidéos sur Zen dans mes pattes 

14 Commentaires sur “Les bienfaits insoupçonnés de la vie avec un chien 🐶

  1. sabine GORISSEN says:

    Merci pour ce bel article qui rap­pelle à quel point un chien est bien plus qu’un com­pa­gnon : un allié pour le corps, pour le cœur, pour l’âme.
    Ta façon de mêler don­nées scien­ti­fiques (réduc­tion du stress, impact hor­mo­nal, ralen­tis­se­ment du déclin cog­ni­tif…) et témoi­gnages per­son­nels est vrai­ment convain­cante et inspirante.
    J’apprécie par­ti­cu­liè­re­ment le concept d’ef­fet miroir” entre l’animal et son humain — c’est une belle invi­ta­tion à se regar­der à tra­vers les yeux de nos poi­lus. Continue à par­ta­ger ces réflexions qui nour­rissent le lien pro­fond que nous pou­vons entre­te­nir avec nos chiens.

    • Fabienne Bruttin says:

      Je suis ravie, Sabine, que l’article t’ait parlé et que la com­bi­nai­son entre don­nées scien­ti­fiques et vécu per­son­nel ait trouvé un écho chez toi.
      L’effet miroir est en effet un concept puis­sant, et je suis heu­reuse qu’il t’inspire aussi. Tes mots m’encouragent à conti­nuer à par­ta­ger ces réflexions pour nour­rir encore davan­tage ce lien unique et pré­cieux que nous avons la chance de vivre avec nos com­pa­gnons à quatre pattes, et tout par­ti­cu­liè­re­ment avec les chiens sur mon blog Mon Ami le Chien. 💛

  2. Edouard Le Minor says:

    Merci pour cet article pas­sion­nant ! J’aime beau­coup la manière dont tu relies science, vécu per­son­nel et exemples concrets comme celui du chien LOL. Ça montre bien à quel point nos com­pa­gnons ont un rôle pré­cieux dans nos vies.

    • Fabienne Bruttin says:

      Merci beau­coup Édouard. Cela me fait plai­sir que tu aies appré­cié l’équilibre entre science, vécu et exemples concrets. C’est exac­te­ment ce que j’essaie de trans­mettre : la valeur unique de nos com­pa­gnons et la richesse du lien qui nous unit à eux. Tes mots m’encouragent à continuer ! 💛

  3. Asma says:

    Merci pour ton article pas­sion­nant ! 🐶✨ Tu montres vrai­ment bien que la pré­sence d’un chien va bien au-​delà de la simple com­pa­gnie : c’est un véri­table sou­tien pour la santé phy­sique et men­tale!! Merci 💯

    • Fabienne Bruttin says:

      Merci pour ton retour 💛🐾 Nos chiens sont bien plus qu’une pré­sence à nos côtés, ils sont un vrai sou­tien, pour le corps comme pour l’esprit ✨. Quand le rap­pro­che­ment entre l’animal et son humain s’installe — com­pli­cité, pré­sence quo­ti­dienne, échanges non ver­baux — l’effet miroir peut se mani­fes­ter plus inten­sé­ment. C’est dans cette proxi­mité que les émo­tions non for­mu­lées peuvent se “mur­mu­rer” entre les deux. Ravie que le mes­sage t’ait parlé !

  4. Sylvie says:

    Super pro­jet ! Je com­prends main­te­nant tout le che­mi­ne­ment que tu fais dans ce but avec Vanda ! Je sou­hai­te­rais aussi adop­ter un chien pour visi­ter des struc­tures telles que les mai­sons de retraite et autres. Il y a une asso­cia­tion dans ma ville qui nous forme à cela mais je n’a­vais pas ima­giné cette anti­ci­pa­tion que tu mènes avec ta jeune chienne…

    • Fabienne Bruttin says:

      Merci beau­coup, Sylvie, pour ton mes­sage. Cela me fait vrai­ment plai­sir de voir que tu par­tages cette envie ! 🌿🐾 C’est vrai qu’il y a encore du tra­vail avant que Vanda puisse inter­ve­nir : elle devra pas­ser un test d’aptitude à ses deux ans, puis suivre une for­ma­tion spé­cia­li­sée. En atten­dant, nous avons déjà com­mencé cer­tains exer­cices élé­men­taires comme de mar­cher au pied d’un rol­la­tor, apprendre le “assis” ou le “donne” et sur­tout le “pas sau­ter” très dif­fi­cile pour elle qui veut dire bon­jour à tout le monde. Le che­min reste encore long avant les pre­mières visites. Sa viva­cité actuelle demande aussi beau­coup d’exercices de canalisation.

      Ma moti­va­tion est mul­tiple, avec deux pro­jets impor­tants en paral­lèle où ma lou­lou sera la “vedette”. Il est essen­tiel d’avancer pas à pas, sans brû­ler les étapes, pour que Vanda reste tou­jours dans la moti­va­tion, le plai­sir et jamais dans la frus­tra­tion. Et au cœur de tout cela, il y a ce bon­heur d’aller vers les autres et de vou­loir leur faire plai­sir 💛 Et je me réjouis de connaître la suite de ton pro­jet en réflexion. Bisous et à très vite pour de nou­velles aventures !

  5. Schmitt Joelle says:

    En lisant le début de ton article j’ai immé­dia­te­ment pensé aux mai­son de retraite et à la soli­tude qui y règne par­fois. La pré­sence des ani­maux apporte beau­coup aux rési­dents ! Je suis sûre que Vanda fera des miracles là bas . Hate de suivre ses aventures 🙂

    • Fabienne Bruttin says:

      Merci beau­coup pour tes mots si tou­chants 💛 Vanda, ma chienne ber­ger blanc suisse, est un véri­table rayon de soleil, pleine de fougue et d’amour, et elle le par­tage géné­reu­se­ment avec toutes les per­sonnes qu’elle ren­contre. 🌞🐾 Comme toi, je suis convain­cue que sa pré­sence pourra appor­ter énor­mé­ment dans des lieux où la soli­tude se fait par­fois sen­tir, comme en mai­sons de retraite. Ton mes­sage me donne encore plus de moti­va­tion pour pour­suivre ce projet !

      J’ai aussi hâte de par­ta­ger la suite de ses aven­tures car nous avons encore d’autres pro­jets 🙂 Si cela t’in­té­resse, je consacre une nou­velle chaîne qui sera enri­chie de nou­velles vidéos ces pro­chaines semaines. Si tu veux t’y abon­ner pour suivre les aven­tures de Vanda, c’est : Zen dans mes pattes A très vite donc pour de nou­velles aven­tures partagées !

  6. Miren says:

    Quel bel hom­mage à nos com­pa­gnons à quatre pattes ! 🐾 J’ai été tou­chée par les don­nées chif­frées (dimi­nu­tion du stress, ralen­tis­se­ment du déclin cog­ni­tif) ça donne tout son poids à ce que beau­coup res­sentent intui­ti­ve­ment. Mais ce qui m’a le plus parlé, c’est la notion d’effet miroir : ce chien qui reflète nos émo­tions, nous invite à avoir plus de clarté inté­rieure. Cet article ne glo­ri­fie pas le chien comme “remède magique”, mais le pré­sente comme par­te­naire de vie, avec ses besoins, son authen­ti­cité, et ça, c’est beau et juste. Merci pour ce texte intel­li­gent, sen­sible et inspirant !

    • Fabienne Bruttin says:

      Tu as par­fai­te­ment saisi l’esprit de mon texte : mettre en lumière la richesse de la rela­tion humain – chien, sans idéa­lisme ni sim­pli­fi­ca­tion, mais avec res­pect et authen­ti­cité. L’effet miroir est en effet un cadeau pré­cieux que nos com­pa­gnons nous offrent, et je suis heu­reuse que ce pas­sage t’ait par­ti­cu­liè­re­ment parlé.

    • Fabienne Bruttin says:

      Merci beau­coup, Laura, pour ton mes­sage et tes sou­haits. Vanda vient de fêter son année, que le temps passe ! Avant de l’emmener en mai­sons de retraite pour appor­ter récon­fort et sou­rires aux pen­sion­naires, il y a encore du tra­vail et aussi un test d’ap­ti­tude à ses deux ans, puis une for­ma­tion à suivre. Nous avons déjà com­mencé à l’entraîner — mar­cher au pied d’un rol­la­tor, apprendre le “assis” ou le “donne” — même si le che­min est encore long avant les pre­mières visites. Sa viva­cité actuelle demande aussi beau­coup d’exercices de cana­li­sa­tion. Ma moti­va­tion est double : enri­chir la vie des autres tout en conso­li­dant ma rela­tion avec Vanda. C’est que du bon­heur ! Plein suc­cès à toi dans tes projets !

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