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TIQUE du CHIEN risque et danger pour son maître

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La tique du chien est un para­site qui se fixe sur sa peau, entre ses poils. Elle se nour­rit de son sang, mais ce n’est pas là le plus grand dan­ger.
La tique du chien n’est pas un dan­ger en soi. Elle est un “trans­por­teur” de nom­breuses mala­dies qui peuvent quel­que­fois s’a­vé­rer mor­telles pour le chien. Comme le rat au moyen âge sup­posé être le pro­pa­ga­teur de la peste noire.
Mais le vrai dan­ger est que la tique peut “émi­grer” sur l’homme. Et les patho­gènes qu’elle trans­met sont même plus dan­ge­reux pour les êtres humains (Maladie de Lyme humaine, par exemple).
C’est d’ailleurs un pro­blème de santé publique qui aug­mente d’an­née en année.
Dans cet article, nous trai­tons tout ce qu’il faut savoir sur la tique du chien, les agents patho­gènes qu’elle trans­porte et les risques pour le chien mais aussi pour l’homme. 

Tique du chien : Qu’est ce que c’est ? Un acarien qui se gorge de sang

La tique est de la famille des aca­riens (Araignées). Il en existe plus de 850 espèces(1) dans le monde. Certaines migrent de régions en régions autour du globe et leur nombre aug­mente au fil des années.
Les tiques étu­diées en méde­cine humaine et ani­male en Europe font seule­ment trois repas de sang durant toute leur exis­tence : le pre­mier à l’état de larve, le deuxième à l’état de nymphe et le der­nier à l’état adulte.
Chacun de ces repas (Quelquefois inter­rompu) peut durer entre deux jours et plus d’une semaine. Il per­met à la tique de mul­ti­plier son poids par 100. C’est comme si une per­sonne de 60 kg buvait chaque jour son poids d’un jus riche en pro­téines et hau­te­ment nutri­tif. Bel ani­mal en vérité ! 

Cycle de vie de la tique du chien au fil des mois et saisons à risque

Tique-de-chien-reproduction

Après accou­ple­ment sur le dos du “por­teur”, la femelle finit de se gor­ger de sang puis se laisse tom­ber sur le sol.
En quelques jours ou quelques semaines, elle va pondre 1500 à 4000 œufs. Ils éclo­ront entre 6 jours et plu­sieurs semaines.
Naissent ensuite des larves à 6 pattes, qui vont se trans­for­mer en nymphes, attra­per au pas­sage un autre “por­teur” chien ou humain, se trans­for­mer en adulte et le cycle recom­mence.
Concrètement, au prin­temps appa­raissent les grosses tiques qui sont les femelles adultes. Les mâles sont les petites tiques noires qui gra­vitent autour.
Au milieu de l’été et en automne ce sont de minus­cules “plombs” gri­sâtres qui les rem­placent sur le chien, sou­vent en grappes abon­dantes. Ce sont les nymphes issues des tiques adultes du prin­temps (pho­tos ci-​dessus). Et ce sont elles qui devien­dront les tiques de “l’au­tomne”.

3 espèces principales de tique de chien en Europe et qui se propagent

C’est vrai, 3 espèces de tiques seule­ment et une mul­ti­tude de mala­dies qui en découlent !

⦁ Ixodes rici­nus. C’est la tique com­mune en Europe, pros­père aux tem­pé­ra­tures fraîches, aux cli­mats humides et tem­pé­rés.
Agents patho­gènes et mala­dies :
Bactérie Borrelia burgdorferi/​maladie de Lyme ;
Virus Flavivirus/​méningo-​encéphalite à tiques,
Anaplasma phagocytophilum/​anaplasmose gra­nu­lo­cy­taire.

⦁ Dermacentor reti­cu­la­tus. En France et en Europe Centrale, aujourd’­hui en Allemagne, en Belgique, au Pays Bas et au Royaume Uni.
Agents patho­gènes et mala­dies :
Protozoaire Babesia canis canis/​babésiose canine

⦁ Rhipicephalus san­gui­neus – “tique du chien”. D’abord loca­li­sée en Europe du sud, aujourd’­hui éga­le­ment dans cer­taines zones du nord de l’Europe.
Agents patho­gènes et mala­dies :
Protozoaire Babesia canis vogeli/​babésiose canine ;
Bactérie Ehrlichia canis/​ehrlichiose mono­cy­taire, hépa­to­zoo­nose, rickett­sioses, etc.

Lutter contre l’envahissement par les tiques : “vérifier” son chien

Outre leurs res­pon­sa­bi­li­tés res­pec­tives nor­males envers les chiens, les vété­ri­naires et les pro­prié­taires de chiens ont un rôle impor­tant à jouer dans la pro­tec­tion contre les tiques vec­trices de zoo­noses et les mala­dies qu’elles trans­mettent aux hommes.
Il faut tout d’a­bord noter une modi­fi­ca­tion pro­gres­sive de la répar­ti­tion géo­gra­phique des mala­dies trans­mis­sibles par les tiques. Certaines mala­dies incon­nues dans cer­taines zones appa­raissent. Par exemple, des cas de babé­siose canine sont appa­rus en Allemagne du Nord et aux Pays-​Bas. Au Royaume-​Uni, on a détecté des cas d’ehrlichiose et de babé­siose chez des ani­maux domes­tiques de retour de séjours dans d’autres pays. 

Les vété­ri­naires suivent en per­ma­nence l’activité et l’évolution des tiques dans leur région – et des mala­dies qu’elles trans­portent. Ils doivent se tenir au cou­rant des der­nières décou­vertes et avan­cées rela­tives à ce pro­blème de santé publique. Ils sont un élé­ment clé dans la pro­tec­tion des chiens contre les tiques, les mala­dies asso­ciées et des dan­gers pour les hommes.
La res­pon­sa­bi­lité des pro­prié­taires de chiens est de tout faire pour tenir les tiques à dis­tance de leur ani­mal :
⦁ se tenir infor­més auprès des vété­ri­naires des mala­dies liées aux tiques iden­ti­fiées dans leur région
⦁ à chaque visite vété­ri­naire, faire véri­fier si leur chien a été infesté et obte­nir un trai­te­ment effi­cace pour pro­té­ger leur chien
sur­veiller l’éventuelle pré­sence de tiques sur leur ani­mal et si c’est le cas, ne pas attendre pour s’en débarrasser. 

Agents pathogènes transportés par la tique – Symptômes à surveiller

Vous avez ci-​dessus la liste des agents patho­gènes que les 3 tiques euro­péennes prin­ci­pales “trans­portent”. Ces 3 tiques sont en réa­lité les “vec­teurs” de plus de 15 mala­dies trans­mis­sibles aux chiens et entre chiens et de 7 mala­dies trans­mis­sibles à l’homme (zoo­nose). Parmi ces mala­dies, nous pou­vons dis­tin­guer celles des plus impor­tantes car plus courantes :

La piro­plas­mose (Babésia trans­mise en France par les tiques Rhipicephalus san­gui­neus dans le sud et les tiques Dermacentor reti­cu­la­tus ailleurs).
Quarante-​huit heures après que la tique se soit “plan­tée” dans la peau d’un chien, les piro­plasmes com­mencent à pas­ser des glandes sali­vaires de la tique au sang du chien. Ils infectent les glo­bules rouges qui éclatent. La piro­plas­mose est mor­telle en quelques jours si non traitée.

Expérience des lec­teurs
Emma : Bonjour ! Nous entrons dans la sai­son des tiques. Soyez pru­dents !
Christiane : Euh, nous n’en­trons pas dans la sai­son des tiques… elle conti­nue. Il faut savoir qu’il peut y avoir des tiques qua­si­ment toute l’an­née. Sauf sur une période de grand froid, si assez longue, ce qui assez rare de nos jours. Il y a quelques années, la chienne de mes parents a attrapé la piro­plas­mose alors qu’une quin­zaine de jours avant, il y avait encore de la neige !

La mala­die de Lyme du chien (Borreliose) (Borrelia burg­dor­feri, trans­mise par la tique Ixodes rici­nus). C’est aussi celle dont on parle le plus actuel­le­ment car dif­fi­cile à soi­gner chez les hommes.
Cette bac­té­rie (Borrelia) qui se répand dans l’organisme du chien, pro­voque fièvre et dou­leurs arti­cu­laires mais aussi pro­blèmes cuta­nés, gon­fle­ment de gan­glions voire insuf­fi­sance rénale et car­diaque, ano­rexie.
Cette mala­die peut être en pro­ve­nance des Etats Unis (bien que déjà décrite en Europe au début du 20ème siècle), se retrouve prin­ci­pa­le­ment dans le Nord-​est pour ce qui est de la France. Voir carte de Citise pour la tique 

Tique du chien male

La tique Ixodes rici­nus et la bac­té­rie Borrelia burg­dor­feri sont pra­ti­que­ment absents de la bor­dure médi­ter­ra­néenne, et la mala­die de Lyme n’y est pas réper­to­riée pour l’ins­tant (Voir carte Citise.
Il existe une vac­ci­na­tion. Pour ceux vivant dans les régions infes­tées, mais d’ef­fi­ca­cité dou­teuse. Demandez à votre vété­ri­naire si elle est nécessaire.

Note
Pour en savoir plus sur la mala­die de Lyme des chiens (et des humains), voir notre article qui lui est consa­crée en cli­quant sur “Maladie de Lyme chien – Remèdes natu­rels – à faire – homéo­pa­thiques”.
Cette mala­die de Lyme due à Borrelia burg­dor­feri, trans­mise par la tique Ixodes rici­nus qui est aussi le vec­teur de nom­breuses autres bac­té­ries, est encore aujourd’­hui dif­fi­cile à cer­ner. 50 à 90 % des chiens vivant en zone d’en­dé­mie (là où l’on trouve la mala­die de Lyme) sont séro­po­si­tifs à la mala­die de Lyme. Cela veut dire qu’ils ont “croisé” la bac­té­rie Borrelia et qu’ils ont généré des anti-​corps. Mais parmi eux 95% se portent très bien et n’ont jamais pré­senté de signe de mala­die. D’où la ques­tion que se posent cer­tains vété­ri­naires, lors­qu’il y a symp­tômes, sont ils dus à la Borrelia burg­dor­feri ou à d’autres bac­té­ries aussi pré­sentes en même temps ?

L’ehrlichiose mono­cy­taire canine (Ehrlichia canis)
Il existe plu­sieurs espèces d’ehr­li­chioses qui s’at­taquent à de nom­breux ani­maux … et à l’homme. Ici, nous par­lons de l’ehrlichiose canine.
Le chien infecté peut, à terme, n’être plus en mesure de fabri­quer ses cel­lules san­guines. Les prin­ci­paux symp­tômes sont fièvre aiguë, fatigue, dou­leurs arti­cu­laires, vomis­se­ments.
La mala­die est lar­ge­ment répan­due dans le monde, dans les régions tem­pé­rées et chaudes où l’on trouve la tique Rh. san­gui­neus (Europe du sud, États-​Unis, Afrique, Asie…). En France, elle est sur­tout pré­sente dans le sud-​est.
Les ber­gers alle­mands ont une pré­dis­po­si­tion à l’in­fec­tion et aux formes les plus graves qui en découlent. 

⦁ Parmi les autres mala­dies moins fré­quentes dues aux bac­té­ries por­tées par les tiques, nous trou­vons quel­que­fois en France les Anaplasmoses (Anaplasma pla­tys, ex-​Ehrlichia pla­tys) qui se mani­festent dans les pla­quettes san­guines. Egalement pré­sentes les Hepatozoonoses (Hepatozoon canis) por­tée par la tique Rhipicephalus san­gui­neus (dans nos régions Sud et Sud-​est) dont la par­ti­cu­la­rité est d’apparaître lorsque cette der­nière se fait “man­ger” par le chien.

Tique du chien et danger pour l’Homme – les zoonoses et leur évolution

L’Europe héberge plus de 60 mil­lions de chiens et notre mode de vie actuel, qui accorde de plus en plus de place aux ani­maux de com­pa­gnie et favo­rise leur mobi­lité (dépla­ce­ments avec leurs maîtres), leur nombre et leur pro­pa­ga­tion.
Ces évo­lu­tions se tra­duisent par une aug­men­ta­tion du niveau d’exposition aux arthro­podes para­sites à la fois des chiens et des hommes. Les tiques en par­ti­cu­lier sont des agents vec­teurs de zoo­noses (mala­dies trans­mis­sibles à l’Homme et inver­se­ment). Les tiques sont main­te­nant la deuxième source de trans­mis­sion d’agents patho­gènes (agents res­pon­sables de mala­dies) aux humains après les mous­tiques.
Ces infec­tions qui se mani­festent sur l’homme com­prennent notam­ment la fièvre pour­prée médi­ter­ra­néenne, l’ehr­li­chioses, la mala­die de Lyme humaine et la méningo-​encéphalite à tiques. Cette der­nière a été mul­ti­pliée par onze dans cer­tains pays euro­péens pour atteindre une moyenne de 1 380 cas par an dans la der­nière décen­nie.
Le nombre de cas de mala­die de Lyme diag­nos­ti­quée sur les hommes a été mul­ti­plié par cinq au Royaume-Uni.

Note
Comment les hommes “attrapent” les tiques – et en consé­quence sont infec­tés par les agents patho­gènes qu’elles trans­portent ?
⦁ Les chiens en pro­me­nade sou­vent courent de par­tout, dans les buis­sons (en forêt), dans les hautes herbes en bord de che­min. C’est là où se cachent les tiques en atten­dant d’un “vec­teur”. Ensuite, la tique sur le chien peut chan­ger de “trans­por­teur” en se lais­sant “tom­ber” sur vos chaus­sures, votre jambe, etc… Voir notre article “com­ment se pro­té­ger des tiques”
⦁ Vous même en balade pou­vez pas­ser dans un pré auprès d’herbes hautes
⦁ Vous pou­vez voir des tiques même dans votre jar­din. 35% des conta­mi­na­tions se font à par­tir de piqûres “domes­tiques.“

Cependant, il y a une bonne nou­velle : votre chien ne peut pas vous trans­mettre la mala­die de Lyme, même s’il en est atteint. L’infection se trans­met obli­ga­toi­re­ment par une tique. Mais cela ne veut pas dire qu’il ne faut pas prendre toutes les pré­cau­tions lors de l’enlèvement de la tique de votre chien (dés­in­fec­ter).

Danger des tiques pour le chien – l’épidémie qui se propage en Europe

Les tiques sont un véri­table fléau car elles sont en rapide expan­sion. Elles sont aujourd’­hui la pre­mière source de trans­mis­sion d’a­gents patho­gènes aux ani­maux. 
Les USA, l’Europe sont enva­hies, en par­ti­cu­lier l’Europe de l’est mais pas seule­ment. Certaines forêts sont inter­dites au public. On assiste à une modi­fi­ca­tion de la répar­ti­tion géo­gra­phique des mala­dies trans­mis­sibles par les tiques.
Par exemple, des cas de babé­siose canine sont appa­rus en Allemagne du Nord et aux Pays-​Bas. Au Royaume-​Uni, on a détecté des cas d’ehrlichiose et de babé­siose chez des ani­maux domes­tiques de retour de séjours dans d’autres pays. Les cas d’ehrlichiose canine obser­vés dans les pays médi­ter­ra­néens sont aussi en aug­men­ta­tion.
La France n’est pas épar­gnée, notam­ment l’Est et le Nord Est ainsi que le Limousin.
Les tiques sucent du sang, mais ce n’est pas là le vrai dan­ger pour le chien (habi­tuel­le­ment). Les dan­gers prin­ci­paux sont les mala­dies mor­telles qu’elles trans­mettent et non pas la quan­tité de sang qu’elles “pompent” à l’a­ni­mal. La pré­ven­tion contre ces para­sites est donc pri­mor­diale pour la santé de votre com­pa­gnon.
Les tiquent trans­portent en effet des mau­vaises bac­té­ries, virus et micro-​organismes qui engendrent des mala­dies. Les mala­dies les plus cou­rantes sont la piro­plas­mose (ou babé­siose), l’ehrlichiose et la mala­die de Lyme du chien (ou bor­ré­liose). Voir ci-​dessus.
Cependant tout n’est pas noir. Notez que dans cet article, nous n’é­cri­vons pas que toutes les tiques trans­mettent à chaque piqûre des mala­dies. Seulement lorsque la tique est infec­tée par un ou plu­sieurs de ces micro-​organismes conta­mi­nants. Cependant, pro­té­ger son chien contre les tiques doit deve­nir une habi­tude de mai à novembre. Cliquez sur “Prévention – Sprays natu­rels à faire” pour lire notre article sur ce sujet.

Note
Il faut noter que la Piroplasmose est une mala­die mor­telle en quelques jours. Il en est de même de l’Ehrlichiose, qui pré­sente des symp­tômes proches de ceux de la Piroplasmose mais entraîne un décès encore plus rapide. Quant à la mala­die de Lyme du chien (Voir ci-​dessous) elle peut avoir des consé­quences dou­lou­reuses pour le reste de sa vie.

Que faire si vous avez trouvé des tiques sur votre chien ? Surveiller

Selon les agents infec­tieux, la durée d’incubation de ces mala­dies varie de 7 jours à 3 semaines.
En consé­quence, si vous avez trouvé une ou des tiques accro­chées à votre chien (que vous avez bien sûr rapi­de­ment reti­rées – Voir ci-​dessous), il faut sur­veiller par­ti­cu­liè­re­ment son com­por­te­ment pen­dant cette période (15 jours).
Vous pour­rez consta­ter de la fièvre, un abat­te­ment, une léthar­gie, une fatigue, le manque d’en­train, des urines mar­ron fon­cées, des boi­te­ries inter­mit­tentes, une ano­rexie, etc. Il est rare qu’au­cun symp­tôme n’ap­pa­raisse.
Mais il est vrai qu’il existe beau­coup de mani­fes­ta­tions cli­niques dif­fi­ciles à inter­pré­ter pour le non-​professionnel. Donc si vous trou­vez un “com­por­te­ment” vrai­ment inha­bi­tuel de votre chien, il est pru­dent de consul­ter un vété­ri­naire très rapi­de­ment.
Faut-​il aller aux urgences ? Non ce n’est pas néces­saire, mais il ne faut pas attendre. Faut-​il pré­voir une hos­pi­ta­li­sa­tion pour votre chien ? Probablement pas, mais c’est votre vété­ri­naire qui peut le déci­der. Ce sera le cas seule­ment si les signes cli­niques sont alar­mants et graves (par exemple réani­ma­tion médi­cale néces­saire pour com­battre les com­pli­ca­tions rénales ou hépa­tiques de cer­taines des mala­dies trans­mises par les tiques).

Sources
Wikipedia – Tiques
How To Remove A Tick From Your Dog : Dos and Don’ts https://www.dogsnaturallymagazine.com/how-to-remove-ticks-from-your-dog/)
Maladie de Lyme et défense contre les tiques par Swanie Simon
Lyme desease map of the US
Morel, Adam, Camicas Hervy, 1998 : Les tiques du monde. Nomenclature, stades décrits, hôtes, répar­ti­tion : The ticks of the world. Nomenclature, des­cri­bed stages, hosts, dis­tri­bu­tion (4 210 noms scien­ti­fiques, 869 espèces ou sous-​espèces au 1er jan­vier 1996) , /06/01 ; ISBN 2−7099−1418−2 ; 233 pages
Le Manuel Vétérinaire Merck – 3ème édi­tion – Tiques – page 749 et suivantes

Conseils vété­ri­naires et réglementation
Les valeurs et conseils que vous pour­rez trou­ver sur ce site sont pure­ment infor­ma­tifs de leur exis­tence dans la lit­té­ra­ture spé­cia­li­sée. En aucun cas, les infor­ma­tions don­nées sur notre site ne consti­tuent une pres­crip­tion de trai­te­ment ou une allé­ga­tion. Ils ne peuvent pas se sub­sti­tuer à l’avis de votre vété­ri­naire ou du thé­ra­peute de votre chien. Seul votre vété­ri­naire peut poser un diag­nos­tic pré­cis et recom­man­der l’utilisation d’un pro­duit. Si tel n’est pas le cas, nous ne sau­rions être tenus pour res­pon­sables d’une prise inadap­tée des pro­duits pré­sen­tés ou cités.

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