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CHIEN QUI ABOIE TROP SOUVENT pour rien : que faire ?

Chien qui aboie : c’est per­tur­bant quand c’est pour un simple bruit dans l’es­ca­lier, ou contre un pas­sant sur le trot­toir ou pour aucun motif appa­rent. C’est tout aussi per­tur­bant pour celui qui fait l’ob­jet de cette agres­sion ou des voi­sins qui n’y sont pour rien. Cela se cor­rige par l’é­du­ca­tion. Mais cela prend du temps, de la constance et des habi­tudes à ne pas trans­gres­ser. A noter que presque tous les chiens qui jappent pour rien ou sans rai­son sérieuse sont des chiens anxieux. 

Base de toute thérapie destinée à éduquer votre chien

Dressage et avertissement du chien qui aboie

Pour sim­pli­fier et obte­nir rapi­de­ment de bons résul­tats, nous vous conseillons tout d’a­bord de mettre en pra­tique les 3 prin­cipes ci-dessous : 

  • Identifier la cause des aboie­ments de votre chien. Chaque aboie­ment, jap­pe­ment, aura une rai­son par­ti­cu­lière. Et il fau­dra “trai­ter” chaque mani­fes­ta­tion en adap­tant la méthode au cas par­ti­cu­lier. D’où, vous trou­ve­rez ci-​dessous ce qu’il faut faire dans plu­sieurs cas courants.
  • Apprendre les bases du dressage/​éducation du chien. En effet, le chien a sa façon de com­prendre les ordres que nous lui don­nons. Faut-​il que ces ordres soient en “lan­gage” chien adapté à la façon dont ils per­çoivent ce qui les entoure. La langue “chien” facile à “uti­li­ser”. (Voir notre article ANXIÉTÉ DU CHIEN – Soigner par l’éducation et dres­sage)
  • Devenir le “domi­nant” pour votre chien, c’est à dire le “chef” que tout chien se donne. Cela veut dire aussi que si votre chien ne vous consi­dère pas son “domi­nant”, c’est lui qui se consi­dé­rera à cette place. Son édu­ca­tion sera per­tur­bée, quasi-impossible

En consé­quence et en pré­am­bule à cet article, nous vous conseillons de lire notre article ANXIÉTÉ DU CHIEN – Soigner par l’éducation et dres­sage. Cela vous fera gagner du temps et d’efficacité votre objec­tif d’é­du­ca­tion de votre chien.

Pourquoi le chien aboie au moindre bruit ou sans raison ?

Tout d’a­bord, aboyer ou jap­per est un com­por­te­ment nor­mal pour les chiens. C’est une de ses façons de com­mu­ni­quer afin de pas­ser un mes­sage. D’où pour habi­tuer votre chien à ne pas jap­per, il faut en com­prendre la rai­son car le jap­pe­ment est le symp­tôme de quelque chose autre auquel vous devez vous “atta­quer”. Le “pour­quoi” est la clé, pas le jap­pe­ment lui-​même. Ces jap­pe­ments peuvent se pro­duire dans l’ap­par­te­ment ou la mai­son ou à l’air libre, dans le jar­din, en pro­me­nade, diri­gés contre une per­sonne, un autre chien, etc. Nous trai­tons ici quelques cas avec la solu­tion cor­res­pon­dante à appli­quer. Mais le nombre de fois où un chien a “ses rai­sons” de jap­per est innom­brable . A vous de trou­ver la cause et la méthode la plus appro­priée, en gar­dant en tête que pour le chien, jap­per est “par­ler”, aver­tir ou sur­mon­ter sa peur. 

Japper pour demander, c’est communiquer pour le chien !

Votre chien qui aboie peut deman­der un jouet, d’al­ler faire une pro­me­nade, obte­nir une frian­dise qui est dans votre main, ou juste avoir votre atten­tion. Par exemple, votre chien apporte à vos pieds son jouet pré­féré, pen­dant que vous êtes en train de regar­der la TV et jappe pour atti­rer votre atten­tion – et que vous jetiez son jouet. Japper pour deman­der est une conduite apprise de lui-​même par votre chien. Il jappe, il obtient ce qu’il veut. Si vous dési­rez sup­pri­mer ce com­por­te­ment, igno­rez votre chien tota­le­ment, ne le regar­dez pas, ne lui don­nez rien. Probablement, ses jap­pe­ments s’in­ten­si­fie­ront dans un pre­mier temps car jus­qu’à ce jour, cela “mar­chait”. Mais vous devez tota­le­ment l’i­gno­rer et per­sis­ter dans cette atti­tude quelques jours. Vous venez de chan­ger les règles et cela lui pren­dra un peu de temps pour “apprendre” les nou­velles règles. Notez que vous pou­vez “appli­quer” les nou­velles règles pour tout jap­pe­ment ou seule­ment pour les jap­pe­ments liés à une demande par­ti­cu­lière. Mais sur­tout “repro­duire” sys­té­ma­ti­que­ment votre com­por­te­ment d’i­gno­rer votre chien, sans relâche et sans reve­nir sur votre déci­sion. Sinon, votre chien n’y com­pren­dra plus rien ! Mais il y a mieux, plus facile et plus rapide pour lui faire com­prendre que cela ne sert à rien d’in­sis­ter. Dans ce cas, vous devez aupa­ra­vant l’é­du­quer à com­prendre et obéir à vos ordres “de base et géné­raux” tels que “Stop”, “Assis”, “Au pied”. S’il jappe, il suf­fira alors de lui dire “Stop-​japper” (Ou l’ordre cor­res­pon­dant que vous lui avez appris) pour qu’il s’ar­rête de jap­per, comme lorsque vous lui dites “Stop” pour une action que vous ne dési­rez pas qu’il fasse. Mais faut-​il que vous l’ayez d’a­bord dressé ! (Voir notre article ANXIÉTÉ DU CHIEN – Soigner par l’éducation et dres­sage

Votre chien aboie par excitation

Votre chien aboie lorsque vous jouez avec lui ou lors­qu’il croise un autre chien dans la rue, avec lequel il veut jouer. Votre chien “gère” son exci­ta­tion qu’il ne maî­trise pas, sim­ple­ment en aboyant. Ceci est assez sou­vent lié au syn­drome d’hypersensibilité-hyperactivité qui est un pro­blème d’autocontrôle (1) La solu­tion est l’é­du­ca­tion qui passe d’a­bord par l’ap­pren­tis­sage à obéir à vos ordres. Votre chien doit com­prendre que “stop” ou “silence” ou “stop-​japper” (A vous de choi­sir le mot que vous allez tou­jours uti­li­ser dans cette cir­cons­tance) veut dire “arrê­ter d’a­boyer”. Comment obte­nir ce résul­tat ? Cela sera facile si vous êtes capable de com­mu­ni­quer avec votre chien et qu’il vous com­prend. Tout cela est expli­qué dans nos articles ANXIÉTÉ DU CHIEN – Soigner par l’éducation et dres­sage. Nous résu­mons la méthode ci-​dessous, appli­quée à la sup­pres­sion des aboie­ments intem­pes­tifs : 1. Mettre dans “votre” tête : ne jamais crier et tou­jours gar­der votre calme en toute cir­cons­tance. Utilisez la méthode du ren­for­ce­ment posi­tif à l’aide d’une récom­pense (frian­dise, caresse ou encou­ra­ge­ment vocal) chaque fois que votre chien res­pecte vos ordres – en par­ti­cu­lier celui d’arrêter d’aboyer (2). 2. Pour le cas de l’a­boie­ment, vous devez d’a­bord apprendre à votre chien ce que veut dire l’ordre “stop-​japper” (3) afin qu’il apprenne à se cal­mer et donc régu­ler son émo­tion (4). 3. Essayer dans un pre­mier temps, cet ordre à la mai­son, lorsque votre chien com­mence à jap­per et est près de vous. Gardez dans votre main une frian­dise (Pas un gâteau ou un bon­bon, mais un petit mor­ceau de fro­mage ou de viande séchée). S’il s’ar­rête de jap­per à votre ordre – pas quelques minutes plus tard – don­nez lui une frian­dise dans la seconde qui suit. Mais s’il ne s’ar­rête pas ou seule­ment quelques minutes plus tard, pas de frian­dise. Dans ce cas, atten­dez la pro­chaine fois qu’il com­mence à aboyer (5). Lorsqu’il a réussi une fois cet ordre (C’est-​à-​dire stop­per d’a­boyer immé­dia­te­ment après “Stop-​aboyer”), le répé­ter à chaque occa­sion où votre chien jappe. Et après quelques essais réus­sis, s’il “manque” le sui­vant en n’o­béis­sant pas immé­dia­te­ment, sur­tout, pas de frian­dise. Il ne doit pas y avoir de confu­sion dans sa tête. 4. Ensuite, faites des essais lors de pro­me­nades lorsque votre chien com­mence à s’ex­ci­ter et jap­per, même s’il est éloi­gné de vous. Sur votre ordre “stop-​japper” et si bien exé­cuté, mon­trez lui la frian­dise afin qu’il revienne vers vous. Si ce n’est pas le cas, ne lui appor­tez pas la frian­dise. Éventuellement repre­nez l’exer­cice lors­qu’il com­mence à jap­per lors­qu’il est tout près de vous. Comme vous pou­vez le consta­ter, cet exer­cice est très simple à réa­li­ser, il faut seule­ment un peu de patience. Cette “édu­ca­tion” s’ap­puie sur le fait que le chien “fonc­tionne dans sa tête” par asso­cia­tion. Lorsqu’il entend “stop-​japper”, il sait qu’il aura une frian­dise – ou sim­ple­ment une caresse, lorsque il aura plei­ne­ment acquis cet exercice. 

Notes
1) Le syn­drome d’hypersensibilité-hyperactivité est un pro­blème d’autocontrôle qui s’acquière nor­ma­le­ment vers l’âge de 6 semaines. Son ori­gine est habi­tuel­le­ment un mater­nage incom­plet (Sevrage trop tôt ou por­tée trop nom­breuse) ou un dys­fonc­tion­ne­ment céré­bral.
(2) Ne don­nez aucune de frian­dise jusqu’à ce que le chien obéisse immé­dia­te­ment à votre ordre.
(3) “Stop-​japper” ou tout autre mot que vous pré­fé­rez, mais à la condi­tion que vous uti­li­se­rez tou­jours ce même mot lorsque vous deman­de­rez à votre chien de stop­per d’a­boyer. Nous ne conseillons pas d’u­ti­li­ser seule­ment “Stop” pour stop­per de jap­per car il peut être uti­lisé dans beau­coup d’autres cir­cons­tances et pour­rait de ce fait créer la confu­sion dans la tête de votre chien. (Là encore, voir notre article ANXIÉTÉ DU CHIEN – Soigner par l’éducation et dres­sage
(4) Vous pou­vez en plus, paral­lè­le­ment à l’exer­cice pro­posé ici, détour­ner l’at­ten­tion de votre chien par le jeu. Cette tech­nique ne fonc­tionne pas avec des chiens aboyant pour atti­rer l’attention. Dans ce cas, ignorez-​le. Si vous le répri­man­dez, votre chien assi­mi­lera cela à une preuve d’attention et conti­nuera donc d’avoir ce com­por­te­ment gênant.
(5) S’il s’ar­rête de jap­per une minute ou plus après votre ordre, il ne faut sur­tout pas lui don­ner une frian­dise car votre chien l’in­ter­pré­te­rait comme “il suf­fit d’a­boyer jus­qu’à ce que j’ob­tienne une frian­dise” – ce qui n’est pas l’objectif.

Votre chien aboie car il s’ennuie

Chien qui aboie parce qu'il s'ennuie

Les chiens s’en­nuient sou­vent : il fau­drait que leur maître soit constam­ment à leur dis­po­si­tion ! Et par­fois il arrive que les chiens s’ennuient tel­le­ment qu’ils ne trouvent que cette acti­vité d’a­boyer pour palier à leur ennui. La solu­tion est bien sûr de pas­ser plus de temps avec votre com­pa­gnon. Votre chien doit sor­tir quo­ti­dien­ne­ment au mini­mum 30 mn, pas seule­ment le wee­kend. Et ce doit être en dehors du jar­din : les chiens ont besoin de sen­tir les odeurs lais­sées par les autres chiens. Dans votre jar­din, ce sont ses propres odeurs qu’il sen­tira et res­sen­tira. Aussi, votre chien connait par cœur tous les recoins du ter­rain et donc finira par s’ennuyer et par­fois aboyer de manière excessive. 

Votre chien aboie par “association”

Votre chien ne “pense” pas comme les humains, mais il asso­cie rapi­de­ment ce qu’il fait à ce qu’il obtient. Cela per­met d’ailleurs son édu­ca­tion, son appren­tis­sage, son dres­sage ou sa for­ma­tion, quel que soit le mot que vous uti­li­sez, pour qu’il puisse vivre en har­mo­nie avec nous. Mais comme le chien “assi­mile” faci­le­ment ces asso­cia­tions, il les uti­lise sou­vent à nos dépends et “natu­rel­le­ment”. Par exemple, si votre chien veut ren­trer à l’in­té­rieur de votre mai­son, il aboie der­rière la porte. Parce que vous crai­gnez d’en­nuyer vos voi­sins ou parce que vous n’ai­mez pas entendre votre chien aboyer, vous vous pré­ci­pi­tez pour lui ouvrir. Quelles asso­cia­tions se sont mises en place dans le cer­veau de votre chien ? D’abord aboyer devant la porte per­met de ren­trer dans la mai­son. Ensuite jap­per per­met d’at­ti­rer votre atten­tion : vous accou­rez rapi­de­ment. Enfin, de ce fait, il peut deman­der quelque chose “dès qu’il le veux”. Alors que faire ? Vous devez igno­rer votre chien chaque fois qu’il vous sol­li­cite. Cela peut être dur pour vous, mais vous devez être cohé­rent avec vous-​même et ne jamais tolé­rer “un moment de fai­blesse” de votre part. Il arrê­tera rapi­de­ment car il com­pren­dra qu’a­boyer ne lui rap­porte rien. D’ailleurs rien ne vous inter­dit de satis­faire à ce qu’il veut mais plus tard, quand vous le déci­dez. Cela fait toute la dif­fé­rence ! En même temps, vous pou­vez pro­fi­ter de cette oppor­tu­nité pour ren­for­cer le com­por­te­ment de votre chien que vous dési­rez obte­nir de sa part. Par exemple appre­nez lui à s’asseoir devant la porte et d’at­tendre – sans oublier de le féli­ci­ter ou lui don­ner une frian­dise lorsque vous le faites entrer ! 

Votre chien aboie par frustration

Cela arrive, votre chien n’aime pas ce qu’il doit faire (Ou que vous lui obli­gez de faire) car il ne l’a pas choisi lui même. Par exemple, res­ter seul à la mai­son (Voir CHIEN SEUL A LA MAISON : sup­pri­mer son anxiété de sépa­ra­tion). Il peut alors mani­fes­ter son mécon­ten­te­ment par des aboie­ments qui durent, des des­truc­tions ou des incon­ti­nences et ceci seule­ment en l’ab­sence du maître. Ce pro­blème ne peut se régler qu’en repre­nant (ou en com­men­çant) son édu­ca­tion “de base”. Il doit com­prendre que vous êtes “le chef” (Le chef de meute), qu’il doit vous obéir et accep­ter vos déci­sions. Nous vous conseillons for­te­ment de suivre les indi­ca­tions don­nées dans notre article ANXIÉTÉ DU CHIEN – Soigner par l’éducation et dressage.

Note
Souvent, les maîtres déses­pé­rés se rabattent sur l’a­chat d’un col­lier anti-​aboiement. Ce n’est pas la bonne solu­tion car l’a­boie­ment pour un chien est son prin­ci­pal moyen de com­mu­ni­quer. Il sera sanc­tionné sans com­prendre le pro­blème. Ce qui le frus­trera pro­ba­ble­ment d’au­tant plus. D’autres méthodes existent pour faire stop­per les aboie­ments de votre chien, sans le mar­ty­ri­ser et le plus sou­vent en s’a­mu­sant (Voir cet article)

Votre chien aboie parce qu’il garde son territoire et le vôtre

Pour tous les chiens, gar­der est ins­tinc­tif. Cela a com­mencé en gar­dant son ter­ri­toire (Il y a quelques dizaines de mil­liers d’an­nées). Puis il a aidé l’homme à pro­té­ger ses bêtes depuis 12 000 ans envi­ron. Pour cer­taines races, la garde est leur acti­vité, leur “spé­cia­li­sa­tion”. Car c’est pour cela qu’ils ont été sélec­tion­nés au fil du temps. Ils aboient donc pour pré­ve­nir d’un dan­ger qu’ils croient immi­nent. Comment abor­der ce pro­blème pour le résoudre ? Il faut avant tout “ins­tal­ler” le “coin” de votre chien hors des pas­sages et endroits stra­té­giques. Par exemple ce n’est pas une bonne idée à proxi­mité de la porte d’en­trée ou en un point cen­tral comme le centre de votre salon. S’il est “posi­tionné” en ces points, il se sen­tira obligé de sur­veiller et d’a­gir. C’est dans ses “tripes”. Si votre chien est dans le jar­din, son “endroit” doit être retiré et calme. Évitez qu’il puisse sur­veiller l’en­semble de “son ter­ri­toire”. Posez des par­ti­tions qui lui barrent la vue de l’en­semble – sur­tout lorsque vous le laissé seul. Enfin, faites son appren­tis­sage : lorsque vous êtes pré­sent appre­nez lui d’o­béir à votre ordre “stop-​japper” comme indi­qué plus haut dans cet article. Pour les périodes où vous êtes absent, édu­quez pour qu’il sup­porte votre absence (Voir notre article “Chien seul à la mai­son : com­ment sup­pri­mer son anxiété de sépa­ra­tion”) 

Éviter les aboiements intempestifs : commencer dès l’éducation du chiot

dressage du chien qui aboie

Si vous avez la chance d’a­voir un chiot, vous devez com­men­cer son édu­ca­tion très tôt, en par­ti­cu­lier gérer “ses” aboie­ments. Cela est fon­da­men­tal et vos ordres ren­tre­ront faci­le­ment dans sa tête. Et n’ou­bliez pas que le chiot, s’il n’a plus sa mère pour apprendre, a besoin de réfé­rences. Il ne lui reste que vous pour lui ensei­gner les “bonnes manières”. Enfin un chien dort sou­vent 14 heures par 24 heures et un chiot, 3 ou 4 heures de plus. Il faut donc lui lais­ser assez de temps libre pour satis­faire ses besoins de som­meil ; En rela­tion avec ce qui pré­cède, vous devez : • Ne jamais encou­ra­ger les jap­pe­ments ou les mor­dille­ments • Exposer votre chiot à tous les bruits exté­rieurs dès le plus jeune âge • Lui apprendre à obéir à vos ordres, en par­ti­cu­lier celui d’arrêter d’aboyer (“Stop-​japper”) mais éga­le­ment tous les ordres de base (“Au pied”, “Assis”, etc… Voir …) • L’habituer pro­gres­si­ve­ment à être seul, au début en vous absen­tant quelques minutes de la pièce où il se trouve, puis en aug­men­tant le temps de votre absence • Si votre chiot a été séparé très jeune de sa mère, met­tez le en contact avec un ani­mal plus âgé (Mais non agres­sif et surveillez-​les de près). Il pourra com­plé­ter son édu­ca­tion. • Utiliser l’ap­pren­tis­sage “posi­tif” (En le récom­pen­sant lors­qu’il réus­sit) et ban­nis­sez puni­tions ou cris trau­ma­ti­sants dont les séquelles peuvent se faire sen­tir à vie. Vous avez main­te­nant beau­coup d’a­touts pour prendre en main l’é­du­ca­tion de votre chien s’il aboie trop sou­vent à votre gré … et à celui de vos voi­sins. Nous vous rap­pe­lons nos articles qui peuvent vous aider à résoudre les pro­blèmes d’an­xiété, de stress, de peur et d’an­goisse de votre chien :