VACCINATION sans effet secondaire pour votre chien – Naturellement

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Vaccination sans effet secon­daire pour votre chien. C’est pos­sible et même for­te­ment recom­mandé, pour sa santé à court, moyen et long terme.
En effet, toute vac­ci­na­tion n’est pas un acte médi­cal ano­din comme beau­coup de pro­prié­taires de chiens le pensent.
Et nous croyons que le pro­to­cole de vac­ci­na­tion qui est pro­posé dans cet article se démarque fran­che­ment des recom­man­da­tions offi­cielles vété­ri­naires habi­tuelles. Votre chien sera mieux pro­tégé des mala­dies sans lui faire cou­rir les risques liés aux effets secon­daires des vac­cins. Mais pour être clair, ce n’est pas notre pro­to­cole, c’est celui de vété­ri­naires immu­no­lo­gistes de renom international.

Le bien et le mal des vaccinations sur le chien – Les effets secondaires

Depuis Pasteur et son vac­cin contre la rage, les vac­cins ont été recon­nus pour avoir une uti­lité indé­niable pour pro­té­ger nos chiens. Mais à force d’abus de la part des fabri­cants de vac­cins(1) et du monde médi­cal et vété­ri­naire, de cachot­te­ries quant aux résul­tats quel­que­fois “arran­gés”, de régle­men­ta­tions qui recom­mandent une uti­li­sa­tion dis­pro­por­tion­née des vac­cins, leurs cré­di­bi­li­tés et effi­ca­ci­tés sont aujourd’­hui mises en doute.

Tout le monde a entendu par­ler de la rela­tion entre les vac­cins (et la nour­ri­ture indus­trielle qu’on leur inflige) et la durée de vie moyenne de nos chiens qui dimi­nue. Il devient de plus en plus rare qu’elle dépasse 10 ans – avec des morts “cou­rantes” par can­cer à l’âge de 2 ans(1), sans épar­gner leurs souffrances. 

En résumé, cer­tains vété­ri­naires savent grâce aux expé­riences et aux études qu’ils ont fait depuis quelques dizaines d’an­nées, qu’il est pos­sible de faire mieux avec beau­coup moins de vac­ci­na­tions donc beau­coup moins de séquelles pour le chien – et moins de dépenses pour son pro­prié­taire. C’est la rai­son pour laquelle nous pen­sons qu’une vac­ci­na­tion – si elle est néces­saire – doit se pré­pa­rer conscien­cieu­se­ment. Voir ci-dessous. 

(1) Pour com­prendre les inté­rêts éco­no­miques de la vac­ci­na­tion cli­quez sur RISQUES DE VACCINATION : ce que votre vété­ri­naire vous cache”.

Préparer son chien à une vaccination : protocole à suivre

La vac­ci­na­tion est un stress pour votre chien : très pro­ba­ble­ment il a peur de la piqûre, du vété­ri­naire, de l’am­biance. Mais le stress dont nous par­lons ici est celui de son corps et de ses fonc­tions qui seront agres­sés par une dose mas­sive de plu­sieurs pro­duits patho­gènes (Certes “atté­nués”) simul­ta­né­ment que sont les vac­cins. Ce qui ni habi­tuel et ni naturel. 

Chien-vacciné-sans-effet secondaire-jouant-avec-balle
Chien en pleine forme

Il est donc impor­tant de le pré­pa­rer avant la vac­ci­na­tion de votre chien et de faire un suivi après :

  1. D’abord qu’il soit en forme le jour de sa vac­ci­na­tion. Sinon repor­tez la vaccination
  2. Essayez d’ob­te­nir de la part du vété­ri­naire 1 ou 2 vac­cins “à la fois” – pas 4 à 5 dans la même seringue
  3. “Doper” son sys­tème immu­ni­taire 2 ou 3 semaines avant la vaccination
  4. Soignez sa nour­ri­ture quelques semaine en avance, qu’elle soit équi­li­brée suf­fi­sante et sans excès
  5. Après la vac­ci­na­tion, faites une légère dés­in­toxi­ca­tion pour débar­ras­ser son corps des toxines et déchets consé­cu­tifs à la vaccination
  6. “Remettre à niveau” son sys­tème immu­ni­taire après la vac­ci­na­tion.

Vous trou­ve­rez ci-​dessous tout ce qu’il faut savoir pour appli­quer sim­ple­ment ces prin­cipes simple.

Quels organes sont le plus sollicités par la vaccination du chien ?

La vac­ci­na­tion pro­duira une impor­tante sol­li­ci­ta­tion du sys­tème immu­ni­taire géné­ral. Il com­prend le foie, les reins en plus des glo­bules blancs, des anti­corps et autres cel­lules des­ti­nées à lut­ter contre les microbes et virus patho­gènes. (Voir sys­tème immu­ni­taire, en cours de rédac­tion).
Il faut donc s’at­ta­cher, au moment de la vac­ci­na­tion, à aider tous ces organes du sys­tème immu­ni­taire. Ceci afin de réduire au mieux les effets secon­daires très sérieux sou­vent à long terme et qui entraînent des séquelles à vie de votre ani­mal.
Ces prin­cipes sont ceux des vété­ri­naires holis­tiques qui traitent le corps dans sa glo­ba­lité et non pas seule­ment les symp­tômes. Ils sont sou­vent aussi immu­no­lo­gistes donc ils savent ce qu’est vrai­ment le sys­tème immunitaire.

L’importance du système immunitaire du chien lors d’effets secondaires

Il faut tout d’a­bord com­prendre que le chien se pro­tège lui même (natu­rel­le­ment) contre les microbes et virus qui l’a­gressent lors­qu’il mange, res­pire ou se blesse. C’est son sys­tème immu­ni­taire qui est au centre de cette défense. 

Le sys­tème immu­ni­taire est un sys­tème com­plexe et de ce fait ter­ri­ble­ment fra­gile dans son fonc­tion­ne­ment. Il est déjà actif à la nais­sance (Immunité innée, héri­tage de la mère). Il conti­nue à se construire et se per­fec­tion­ner à chaque “ren­contre” avec des micro-​organismes patho­gènes (Immunité acquise). 

En bon état, le sys­tème immu­ni­taire recon­naît tous les “com­po­sants” (Les mil­liards de cel­lules, les cen­taines de fonc­tions) qui appar­tiennent à “son” corps. Simultanément, il repère toutes les par­ties “étran­gères” à ce corps. Il s’a­git de cel­lules et autres (Microbes, virus, cham­pi­gnons, toxines) dont il se débar­rasse (le plus souvent). 

En mau­vais état (endom­magé) le sys­tème immu­ni­taire peut “dérailler” et se retour­ner contre les com­po­sants même de “son” corps. Cela devient des mala­dies auto-​immunes, chro­niques, aller­gies, can­cers, etc.). 

Ce qui se passe dans le corps du chien à la vaccination … et après 

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Vaccination consen­tie …

Quant à la vac­ci­na­tion, elle est une “mani­pu­la­tion” du sys­tème immu­ni­taire :

  1. En injec­tant direc­te­ment dans le sang le vac­cin (et non pas par les voies natu­relles tels que la bouche, le nez et autres ori­fices, qui sont celles nor­ma­le­ment emprun­tées par les vrais microbes patho­gènes “natu­rels”). Ces virus et microbes patho­gènes sont “pré­pa­rés” en par­ti­cu­lier avec l’ad­di­tion de “dopants” recon­nus pour être can­cé­ri­gènes ou dan­ge­reux pour le cer­veau (mer­cure et aluminium)
  2. Egalement en mélan­geant 2, 3, 4 voire 5 vac­cins, jus­qu’à 7 vac­cins semble-​t-​il, dans la même seringue, c’est à dire injec­tés simultanément
  3. Finalement et de ce fait, en injec­tant une dose impor­tante de “patho­gènes” simul­ta­né­ment (mélange de plu­sieurs types de patho­gènes) contre les­quels nous vou­lons nous pro­té­ger (Ex : la grippe, la rage, la mala­die de Carré, etc.);
  4. Bien sur, le sys­tème immu­ni­taire réagira beau­coup, moyen­ne­ment ou pas du tout, en “fabri­quant” beau­coup ou pas du tout des anti­corps char­gés d’é­li­mi­ner les microbes cor­res­pon­dants aux anti­gènes patho­gènes injectés.

Jusqu’à ce point, rien de sus­pect en ce qui concerne la pra­tique vac­ci­nale. Sauf peut être la manière “bru­tale” et peu natu­relle de l’i­no­cu­la­tion et l’ad­di­tion d’ad­ju­vants dan­ge­reux, plu­sieurs répu­tés can­cé­ri­gènes. Mais après, qu’en est-​il des effets secondaires ? 

Pourquoi des effets secondaires après vaccination ?

Une conta­mi­na­tion natu­relle (dans la vie réelle) par un microbe est le plus sou­vent le fait d’un seul “type” de micro-​organisme patho­gène “à la fois”. Par exemple celui de la rou­geole. Le sys­tème immu­ni­taire, par un jeu com­plexe “entre cel­lules” (Reconnaissance, mar­queurs, pré­sen­ta­tion des cel­lules) fabrique à ce moment là, un seul anti­corps spé­ci­fique contre ce patho­gène unique “natu­rel”.
De plus, après la fin de la mala­die, il garde “la mémoire” de cet anti­gène et “stock” des anti­corps pour être rapi­de­ment prêt à l’oc­ca­sion d’une attaque future de ce microbe. 

Dans le cas de la vac­ci­na­tion, le vété­ri­naire injecte 4 ou 5 patho­gènes dif­fé­rents contre 4 ou 5 mala­dies. Lors d’une vac­ci­na­tion avec plu­sieurs patho­gènes, le sys­tème immu­ni­taire peut être perturbé : 

  1. Il peut être en période de fai­blesse par rap­port à cette attaque mas­sive de patho­gènes, même “atté­nués”. C’est le cas des chiots, des chiens âgés dont le sys­tème immu­ni­taire est lent et “dimi­nué”. Cela peut être celui des chiens qui relèvent de mala­dies, fati­gués, dont le sys­tème immu­ni­taire vient d’être sol­li­cité et ne s’est pas encore “régé­néré”. C’est aussi le cas lors de mala­dies chro­niques, etc. car alors le sys­tème immu­ni­taire est sol­li­cité en per­ma­nence.
  2. Le sys­tème immu­ni­taire peut avoir du mal à dif­fé­ren­cier et fabri­quer 4 à 5 types d’an­ti­corps dif­fé­rents et simul­ta­né­ment. La lec­ture des “signa­li­sa­tions” entre cel­lules peuvent être erro­nées ou annu­lées. La “logique” du sys­tème immu­ni­taire peut alors être déré­glée quel­que­fois à vie.
    Il pourra être sans réac­tion (Aucune immu­ni­sa­tion), réagir nor­ma­le­ment (Immunisation effec­tive) ou au contraire sur-​réagir. Le sys­tème immu­ni­taire peut en effet dans ce cas se retour­ner contre le corps du chien et atta­quer un organe.
    C’est ce der­nier cas qui conduit à des mala­dies auto-​immunes (le sys­tème immu­ni­taire consi­dère des par­ties du corps qui l’a­brite comme “enne­mis”). Cela peut être aussi des mala­dies chro­niques (effet mémoire), des défaillances de cer­tains cel­lules (Cellules NK par exemple qui ne font plus leur tra­vail d’a­néan­tir les cel­lules can­cé­reuses).
  3. Qu’il réagisse nor­ma­le­ment ou en “sur-​régime”, le sys­tème immu­ni­taire pro­duira des “déchets” : cel­lules mortes, toxines pro­duites, etc. Ces déchets s’é­va­cuent nor­ma­le­ment via le foie, les reins (Excréments, urine) et la peau (Suintement cutané).
    Ils peuvent deve­nir vite sur­char­gés, sur­tout si le chien n’a­vait pas une bonne hygiène nutri­tion­nelle avant la vac­ci­na­tion. Par exemple, les cro­quettes sont char­gées en “addi­tifs” – comme les plats cui­si­nés – comme les vac­cins avec leurs adju­vants, qui s’ac­cu­mulent dans le foie et les reins. L’évacuation de ces déchets se fera par d’autres voies. Par exemple, cela se trans­for­mera en aller­gies cuta­nées puru­lentes.

En consé­quence et dans tous les cas, après la vac­ci­na­tion, il sera néces­saire d’aider les organes (Foie, reins, etc. ) à se net­toyer d’a­bord et le sys­tème immu­ni­taire de votre chien à se recons­truire.  

Avant la vaccination – Renforcer le système immunitaire par les plantes

Il y a plu­sieurs plantes qui peuvent ren­for­cer le sys­tème immu­ni­taire. Leurs “actions secon­daires” per­met cepen­dant de les dif­fé­ren­cier.
Choisissez celle(s) qui conviennent le mieux à votre chien et aussi à l’é­tat de ses organes à “ren­for­cer en par­ti­cu­lier” et en même temps.
Les vété­ri­naires holis­tiques recom­mandent en pre­mier l’Echinacée, plus une des plantes “adap­to­gènes” que sont le Curcuma et la Réglisse (Voir la note 2 : contre-​indication).
L’ail peut être consi­déré comme plante médi­ci­nale tout autant que plante aro­ma­tique. C’est la rai­son pour laquelle vous la retrou­vez au para­graphe sui­vant (Attention : l’ail qui est un remède très per­for­mant, doit cepen­dant être uti­lisé en quan­tité modé­rée pour le chien – Voir notre article en cli­quant sur “AIL POUR LE CHIEN : POISON OU MEDICAMENT ?”

Echinacée

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Echinacea pourpre

C’est la plante la plus sou­vent pré­co­ni­sée pour ren­for­cer le sys­tème immunitaire. 

  • Elle pro­duit un coup d’ac­cé­lé­ra­teur aux dif­fé­rentes fonc­tions du sys­tème immu­ni­taire (Production de glo­bules blancs, inter­fé­ron, inter­leu­kine, etc.).
    L’Echinacée est aussi anti-​inflammatoire, a une acti­vité anti-​tumoral.
    Son acti­vité directe contre les bac­té­ries et virus est moyenne.
  • La prise recom­man­dée par les vété­ri­naires holis­tiques s’é­tend sur 3 semaines et doit s’ar­rê­ter avant la vaccination.
  • Posologie : la plus facile est sous forme de tein­ture (Non alcoo­lique si pos­sible lorsque pour le chien) – Voir la notice du fabricant.

Astragale, les champignons shiitake et reishi et le Ginseng sibérien

  • Ce sont des “adap­to­gènes” : ils aug­mentent l’endurance et le niveau d’éner­gie, amé­liorent la réponse du corps aux situa­tions de stress (Maladie systémiques(1), infec­tion, trauma émotionnel).
  • Voir les ins­truc­tions de la notice du remède que vous avez choisi.

Ail indispensable pour les chiens

  • L’ail(2) est un puis­sant anti­mi­crobe, anti­vi­ral, anti­my­coses, anti­oxy­dant. Il est aussi immu­no­sti­mu­lant (Stimule les fonc­tions immu­ni­taires). Diminue la tension.
  • L’ail doit si pos­sible être uti­lisé frais, fine­ment coupé ou râpé (10 mn avant de le ser­vir – ne pas le sto­cker). Il peut être uti­lisé en poudre (Mais a perdu une par­tie de ses com­po­sants donc de ses qualités).
  • Posologie : à chaque repas pen­dant 1 semaine – puis arrê­ter une semaine. Planifiez afin que la semaine avant la vac­ci­na­tion, soit une semaine “sans” ail. Pour les quan­ti­tés en fonc­tion du poids du chien, voir notre article en cli­quant sur AIL POUR LE CHIEN : poi­son ou remède natu­rel ?

Curcuma

  • Le Curcuma sti­mule le foie et les fonc­tions diges­tives dans le cadre du sys­tème immu­ni­taire. Il est aussi anti­mi­cro­bien et anti-​cancérigène, est uti­lisé dans les mala­dies cardiovasculaires.
  • Contre indi­qué en cas de blo­cage de la vési­cule biliaire (Calculs)

Réglisse et bourrache

  • La Réglisse et la Bourrache sti­mulent les glandes sur­ré­nales, aident et pro­tège le foie.
  • La Réglisse(3) est aussi un “adap­to­gène” (Augmente l’endurance et le niveau d’éner­gie), anti-​inflammatoire et un sté­roïde natu­rel.
    Elle est aussi uti­li­sée pour les pro­blèmes liés aux bron­chites et abdo­mi­naux.
    Alternative : Ginseng – de pré­fé­rence de Sibérie)
  • Posologie : tein­ture (Non alcoo­lique ou bas taux d’al­cool) – 12 à 20 gouttes par 10 kg de poids du chien – Pendant 2 à 3 semaines.

Notes
(1) Les mala­dies sys­té­miques, ou col­la­gé­noses, ou connec­ti­vites, consti­tuent un ensemble de mala­dies liées à une atteinte immu­no­lo­gique et inflam­ma­toire du tissu conjonc­tif et du col­la­gène. Leurs carac­té­ris­tiques sont de pré­sen­ter des lésions dif­fuses dans de nom­breux endroits du corps et des signes bio­lo­giques inflam­ma­toires.
Ces mala­dies font par­tie de la méde­cine interne, car elles touchent plu­sieurs organes à la fois et ne relèvent donc pas d’une spé­cia­lité unique (telles la car­dio­lo­gie, la pneu­mo­lo­gie, etc.). Par exemple la poly­ar­thrite rhu­ma­toïde, la mala­die de Horton, la pseudo- poly­ar­thrite rhi­zo­mé­lique, etc.
(2) L’ail doit être donné au chien en quan­tité modé­rée, fonc­tion du poids du chien. Voir notre article “AIL POUR LE CHIEN : poi­son ou remède natu­rel ?” en cli­quant ici
(3) Attention : il a été reporté que la réglisse pou­vait créer une réten­tion de sodium. Prudence si votre chien a des pro­blèmes rénaux ou est sous médi­ca­tion car­diaque. Ne pas uti­li­ser pour les chiennes enceintes ou allai­tantes sans suivi d’un vété­ri­naire holistique.

Avant vaccination – Soigner la qualité de la nourriture de votre chien 

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Que c’est bon !

La nour­ri­ture est un point très impor­tant de la santé de votre chien (Comme de la votre) et encore plus impor­tant au moment où son corps va avoir à affron­ter des “enne­mis” que sont les antigènes. 

  • Si votre chien à un régime “cru” tel que BARF, ne rien chan­ger. Prenez seule­ment soin de bien équi­li­brer nutri­tion­nel­le­ment les repas, qui doivent être de qua­lité et en quan­ti­tés suffisantes.
  • Si à l’in­verse, votre chien est habi­tué aux repas cro­quettes ou indus­triels (boîtes), ne chan­ger pas ses habi­tudes, ne pas­ser pas au menu BARF dans l’ur­gence (Barf serait en effet meilleur dans cette période de stress).
    Mais rem­pla­cez les cro­quettes et repas ou boîtes “toutes prêtes” habi­tuelles par les pro­duits haut de gamme.
  • Si vous ser­vez à votre chien des repas “pré­pa­rés” mai­son, pre­nez soin qu’ils soient bien équi­li­brés, riches en pro­téines ani­males et com­plé­ments natu­rels (Voir ci-dessous)

Dans tous les cas, n’ou­bliez pas d’ajou­ter des com­plé­ments ali­men­taires natu­rels à la nour­ri­ture sous forme liquide (si elles existent) ou de plantes fraîches ou séchées sui­vant disposition : 

  1. Origan : Digestif et car­mi­na­tif (Flatulences). Anti-​inflammatoire, anti­sep­tique et anti­bac­té­rien (Bactéries, virus, cham­pi­gnons, mycoses). Infusion dans la nour­ri­ture (50 g d’o­ri­gan dans 1 l d’eau pen­dant 7 mn – 2 cuillères à café par repas)
  2. Thym : Mixer les bran­chettes. Existe aussi en tein­ture (Choisir sans alcool) ou macéra gly­cé­riné : 14 de cuillère à café (1 ml) par 15 kg de poids
  3. Curcuma : voir ci-dessus
  4. Cumin : pro­prié­tés car­mi­na­tives (Flatulence), anti­spas­mo­diques et anti-​inflammatoires (Digestion dif­fi­cile, fla­tu­lences, dou­leurs abdo­mi­nales et sto­ma­cales, trai­te­ment des inflam­ma­tions rhumatismales).
  5. Cayenne : en poudre ou mou­liné. Active la cir­cu­la­tion du sang (Vasodilatateur) et “réchauffe” le corps
  6. Ail : voir ci-dessus
  7. Persil : feuilles (Protéines et vita­mines A, C, B, B2 et K, fibres, cal­cium, fer, magné­sium, etc. Aide au fonc­tion­ne­ment du rein). 1 cueillère à café par 10 kg de poids du chien ou quelques gouttes si sous forme de teinture.

Après vaccination : doper le système immunitaire 

La vac­ci­na­tion a sérieu­se­ment trau­ma­tisé le sys­tème immu­ni­taire, qui s’est affai­bli suite aux “attaques” et aux “pertes” qu’il a subit (“bonnes” cel­lules qui ont été détruites ou abî­mées). Il faut donc le remettre en bon ordre de marche, en accé­lé­rant sa “remise à niveau”. Deux actions à prévoir : 

  1. Aider à éva­cuer les déchets, toxines, etc. que la vac­ci­na­tion à engen­dré en acti­vant le fonc­tion­ne­ment du sys­tème immu­ni­taire : dés­in­toxi­ca­tion
  2. Doper le sys­tème immu­ni­taire de votre chien pour qu’il puisse faire face rapi­de­ment aux patho­gènes(1) qui l’entourent.

Mais ces deux actions ne doivent pas être simul­ta­nées mais légè­re­ment déca­lées d’une semaine envi­ron et dans l’ordre indi­qué : dés­in­toxi­ca­tion d’a­bord puis ren­for­ce­ment du sys­tème immunitaire(2).

(1) Tous les jours, le sys­tème immu­ni­taire fait face à des dizaines “d’at­taques” bac­té­riennes ou virales, sans que nous nous en aper­ce­vions.
Un autre exemple : le sys­tème immu­ni­taire détruit chaque jour par cen­taines, des cel­lules “can­cé­reuses” ou qui le devien­draient et ceci pour les per­sonnes (ou les chiens) qui ne sont pas atteintes du can­cer.
(2) Attention : chiens avec pro­blèmes : âgés, chiots, pro­blèmes de foie, de reins, dia­bète (Pancréas), mala­dies auto-​immunes, etc. La vac­ci­na­tion de ces chiens est sou­vent non recom­man­dée car les risques consé­cu­tifs aux vac­cins sont encore plus grands.
Si cepen­dant la vac­ci­na­tion doit être pra­ti­quée, se rap­pro­cher d’un vété­ri­naire holis­tique AVANT de com­men­cer toute prise de remèdes comme indi­qué ci-après.

Pourquoi désintoxiquer après vaccination ?

La com­po­si­tion des vac­cins com­prend au moins une dizaine de com­po­sants (En plus du virus ou de la bac­té­rie “atté­nués”) dont la plu­part sont recon­nus liés à l’ap­pa­ri­tion de can­cers, aller­gies, pro­blèmes d’ar­ti­cu­la­tions, mala­dies auto-​immunes, etc.
Ce sont par exemple de l’a­lu­mi­nium, du thi­me­ro­sal, des pro­téines ani­males, d’autres conta­mi­nants toxiques, adju­vants, etc. qui servent à fabri­quer les vac­cins et se retrouvent injec­tés dans le corps. Voir notre article sur ce que l’on ne dit pas des risques de vac­ci­na­tion”.

Désintoxiquer le chien rapi­de­ment après la vac­ci­na­tion per­met de lui faire éva­cuer la plu­part des ces com­po­sants, plus les déchets résul­tants de la vac­ci­na­tion même (Cellules mortes, toxines) qui seraient res­tés sto­ckés dans les organes (Foie, reins, cel­lules, cerveau). 

S’ils ne sont pas éva­cués, ils se rap­pel­le­ront un jour peut être loin­tain, à votre bon sou­ve­nir (et sur­tout à celui de votre chien) sous la forme de mala­dies chro­niques, auto-​immunes, aller­giques, arti­cu­laires ou cancer.

Comment désintoxiquer après vaccination ?

Commencez la période de dés­in­toxi­ca­tion rapi­de­ment après la vac­ci­na­tion. S’il s’a­git de plu­sieurs vac­ci­na­tions éta­lées sur plu­sieurs semaines, ne pas attendre la fin de la période. Commencez 2 ou 3 jours après le 1er vaccin. 

Mais limi­tez le nombre de remèdes : com­men­cez avec un seul, puis ajou­tez pro­gres­si­ve­ment les autres et/​ou espa­cez les prises ou la quan­tité sui­vant le com­por­te­ment “diges­tif” de votre chien. 

  • Probiotiques
    Ils per­mettent de res­tau­rer l’é­qui­libre bac­té­rien du tube diges­tif qui est au centre du sys­tème immu­ni­taire.
    Ne pas oublier de les accom­pa­gner de pré­bio­tiques (Qui les “nour­ris”). Vous trou­vez même des com­bi­nai­sons toutes faites.
    Mais vous pou­vez aussi don­ner direc­te­ment du Kéfir, de la chou­croute crue. Tout ali­ment fer­menté est une source de pro­bio­tiques. Donner les pro­bio­tiques 2 fois par jour (Choisissez la “concen­tra­tion” d’au moins 10 mil­liards CFU et évi­tez les pro­bio­tiques d’o­ri­gine laitière) 
  • Homéopathie
    L’homéopathie est connue pour “répa­rer” les dom­mages suite aux vac­ci­na­tions.
    Si votre chien montre des symp­tômes de séquelles de vac­ci­na­tion, consul­tez un vété­ri­naire homéo­pathe qui trou­vera le bon remède à uti­li­ser.
    Vous pou­vez aussi choi­sir la com­bi­nai­son toute prête de remèdes homéo­pa­thiques des­ti­née à aider à débar­ras­ser votre chien des métaux lourds 
  • Omega‑3 et acides gras
    Les acides gras char­gés en omega‑3 aide­ront à contrô­ler les inflam­ma­tions et font par­tie du pro­to­cole de dés­in­toxi­ca­tion.
    Mais atten­tion, beau­coup d’huiles de pois­sons sont faci­le­ment rances ce qui aug­mente l’in­flam­ma­tion.
    Optez plu­tôt pour le phy­to­planc­ton. Donnez du phy­to­planc­ton ou des omega‑3 tous les jours 

Soyez préparé …

La dés­in­toxi­ca­tion peut conduire votre chien a avoir des excré­ments pas très “ragou­tants”, puis­qu’il s’a­git d’un “net­toyage” du corps du chien des déchets et autres toxines. 

Votre chien peut sem­bler “s’en tirer sans consé­quence” les pre­miers jours, mais peut aussi avoir des fèces presque liquides dans les jours sui­vants. Si c’est le cas, vous pou­vez ralen­tir le rythme, il n’y a pas d’ur­gence. Ajoutez un des remèdes ci-​dessus à la fois. 

A quel moment doper le système immunitaire après vaccination ?

Commencez le ren­for­ce­ment du sys­tème immu­ni­taire 3 ou 4 jours après le début de la dés­in­toxi­ca­tion.
Reprenez les mêmes plantes pré­co­ni­sées pour le ren­for­ce­ment du sys­tème immu­ni­taire avant la vac­ci­na­tion (Echinacée, Astragale, les cham­pi­gnons shii­take et rei­shi, le Ginseng sibé­rien, ail, Curcuma, Réglisse et Bourrache). Ajustez éven­tuel­le­ment le nombre, les quan­ti­tés et la durée entre prises. 

Bibliographie
Je nour­ris mon chien natu­rel­le­ment – Swanie Simon – Thierry Souccar Editions – 2014
Natural Heath for dogs and cats – Dr Pitcairn – Rodale Editions
Herbal dog care – Dr Kidd – Storey Publishing – www.storey.com
Work Wonders : Feed Your Dog Raw Meaty Bones – Dr Tom Lonsdale – Rivetco Pty Ltd
Toxic cro­quettes – Zutta Ziegler – Souccar Editions
Comparaison des rations Barf (Biologically appro­pried raw food) aux reco­man­da­tions nutri­tion­nelles du chien sain ou malade ‑École natio­nale vété­ri­naire d’Alfort – Année 2011 – Thèse pour le doc­to­rat vété­ri­naire pré­sen­tée par Elise, Jeanne, Aline CAMPAGNOLLE
Herbs for pets – Mary Wulff-​Tilford – Bow Tie Press
Le Manuel Vétérinaire Merck – 3ème edi­tion fran­çaise
Dog Vaccinations : Why Detox Is Important – www.dogsnaturallymagazine.com/dog-vaccinations-detox/

Conseils vété­ri­naires et réglementation
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