Risques de vaccination : faut-il s’en préoccuper ? Il existe peu d’information complète sur le sujet.
C’est pourtant une question que certains propriétaires de chiens se posent depuis longtemps. Ils sont chaque jour plus nombreux.
Quelques uns abandonnent toute vaccination.
Des vétérinaires aussi commencent à se préoccuper sérieusement des risques liés à la vaccination mais ils sont peu nombreux. Les autres sont-ils trop timides pour vous en parler ? Pourtant tout ce qui est dans cet article est connu de la “filière” vétérinaire, au moins en partie.
Vous lirez ci-dessous les résultats de notre enquête et des solutions pour limiter les risques, ceci pour vous permettre de faire votre opinion et de prendre les meilleures décisions pour la santé de votre chien. Bonne lecture.
Risques de vaccination : où en est-on ? Les tendances officielles

Modérer le nombres de vaccinations et de vaccins ne semble pas être actuellement la tendance officielle, celle des réglementations, des autorités médicales, des vétérinaires conventionnels et des fabricants de vaccins. Pour eux, toujours plus de vaccins.
Onze vaccins pour les jeunes enfants à partir de 2018 et ceci … pour la France !
Pour les chiens un planning recommandé d’une cinquantaine de vaccins et rappels tout au long de leur vie (Oui, vraiment, plus de 50 !).
C’est donc une question cruciale pour le propriétaire de chien, une décision qui peut entraîner ou éviter de nombreux problèmes pour lui et pour son ami à quatre pattes.
Aucun vaccin peut éventuellement être un risque de maladies bactériennes ou virales, trop de vaccins est un risque quasi certain d’autres maladies dues aux effets secondaires, autrement sérieux et le plus souvent chroniques.
Vous trouverez ici toutes les informations nécessaires rassemblées dans cet article. Vous pourrez ainsi décider ce qui est bon pour votre chien et indirectement pour vous. Et découvrir ainsi ce que votre vétérinaire oublie de vous dire.
En fin d’article vous lirez aussi la solution raisonnable pour ce qui concerne le protocole “vaccination” de votre chien, raisonnée à partir d’informations disponibles dans d’autres pays et qui nous ont été cachées jusqu’ici en France.
Lorsqu’un antigène (Microbe ou virus) attaque le corps, celui ci se défend en fabriquant des “anticorps” spécifiques (un par maladie) destinés à éliminer le micro-organisme en question.
En fait, c’est notre système immunitaire qui est à la manœuvre et qui , à cette occasion, fait bien plus que “seulement fabriquer” des anticorps ! Mais cela prend du temps pour qu’ils soient disponibles (quelques heures à quelques jours pour qu’ils soient en nombre suffisant).
Si les micro-organismes sont peu nombreux et/ou peu agressifs, le corps en bonne santé aura le temps de “faire” assez d’anticorps pour les éliminer. Vous vous sentirez peut être légèrement “patraque” pendant cette période – ce sera identique pour votre chien.
Si c’est l’inverse, cela devient une maladie sévère, quelquefois mortelle avant que le nombre d’anticorps soient suffisants. Cela est finalement fonction du virus ou microbe, du traitement disponible ou non ainsi que de la robustesse de votre système immunitaire.
Si vous désirez en savoir plus, cliquez sur ce lien Système immunitaire : fonctionnement, complexité, dérèglements – en cours de rédaction”
Le nombre d’anticorps diminue rapidement après la maladie mais le système immunitaire conserve pendant des années la “trace” du passage des antigènes (effet “mémoire”). D’où les mêmes antigènes, microbes ou virus, seront attendus et immédiatement reconnus par le système immunitaire lors d’une “nouvelle attaque”.
Il produira alors en urgence les anticorps nécessaires pour repousser la maladie sans autre manifestation que quelques jours de fatigues (peut être).
D’où l’idée du vaccin et des rappels : “stimuler” régulièrement le système immunitaire avec un antigène microbe ou virus “manipulé” en laboratoire, d’une maladie donnée.
Vaccination ne veut pas dire immunisation. Effet mémoire
Les vaccins sont directement injectés dans le sang. Cela conduit le système immunitaire à fabriquer des anticorps spécifiques(1) qui conduiront à “l’effet mémoire” dans l’attente d’une “vraie” maladie.
Il faut aussi souligner que vaccination ne veut pas dire immunisation contre une maladie. L’objectif de la vaccination est de faire fabriquer par le corps des anticorps qui eux détruirons les virus ou microbes. Mais ce schéma ne fonctionne pas toujours.
Quelquefois le corps ne réagit pas du tout aux vaccins et le système immunitaire ne fabrique pas d’anticorps. Le chien n’est donc pas immunisé dans ce cas. Il attrapera la maladie s’il croise le microbe correspondant, comme s’il n’avait pas été vacciné.
Autre cas possible : si le système immunitaire réagit peu ou avec retardement lors de la vaccination, il fabriquera peu d’anticorps rapidement et se trouvera infecté par le vaccin lui même (malgré les précautions d’injecter des “souches” atténuées de la maladie). Il pourra avoir une forme plus ou moins sévère de la maladie au moment de sa vaccination.
A l’inverse (et c’est plus souvent le cas et le plus grave), le système immunitaire pourra sur-réagir, ou être “déstabilisé”. C’est la où se situe un des problèmes et le vrai risque pour votre chien. Voir ci-dessous.
(1) Beaucoup d’immunologistes pensent aussi que ces anticorps “artificiellement fabriqués” sont moins actifs et le restent moins longtemps que les anticorps issus d’une maladie réelle. Nous parlons ici de plusieurs années, même pour les anticorps d’origine “artificielle”. Rien n’est vraiment démontré à ce sujet.
Types de vaccins, compositions et risques qu’ils comportent
C’est le premier problème, la nature et la conception. des vaccins. Les vaccins sont pour l’instant de 3 types, mais d’autres plus “sophistiqués” sont en laboratoire.
Vaccins inactivés et adjuvants
Ils fournissent une faible stimulation du système immunitaire, ce qui oblige les fabricants a leur ajouter des adjuvants pour “doper” leur efficacité. Le plus souvent, ils nécessitent des rappels, si nous devons croire les recommandations officielles…
Vaccins atténués principalement contre les virus
Ce sont essentiellement les vaccins viraux. L’atténuation de la souche virale se fait par passages successifs sur plusieurs cultures cellulaires. Le virus perd peu à peu sa virulence tout en conservant ses propriétés antigéniques.
Il s’agit d’introduire dans un virus une partie du code génétique d’un autre virus correspondant au virus à combattre – et cette partie induira l’immunité contre la maladie, lorsque injecté dans le flux sanguin.
Ils sont, d’après les fabricants, totalement apathogènes (qui ne peuvent “générer” une maladie), présentent les avantages des vaccins atténués avec l’innocuité des vaccins inactivés. Qu’espérer de plus ?
Risque des vaccins : leurs composants et les adjuvants “à risque”
A chaque injection de vaccins, est introduit dans le corps (en réalité directement dans le sang) de nombreux produits chimiques qu’il devra “un jour” obligatoirement éliminer (Les antigènes bien sûr + souvent des adjuvants).
Aujourd’hui et pour les “doper”, la plupart des vaccins comprennent des métaux tels que du mercure (thimerosal ou ethylmercury) et l’aluminium, d’autres ingrédients toxiques tels que du formaldehyde (connu pour être un cancérigène) et du cytotoxic (tel le phénol rouge). Voici un extrait de ce qui est sensé composer les vaccins :
- Thimerosal : c’est un composant pourtant d’une extrême neurotoxicité au mercure, reconnu depuis des décades. Certains vaccins se disent “sans thimerosal”, mais sans preuve formelle.
- Aluminium : c’est un cancérigène de niveau 3 (sur un maximum de 4). Il débloque les protections du cerveau, permettant ainsi l’accès des neurotoxines. Il régule à un niveau plus élevé l’immunoglobuline E liée aux allergies (Anticorps IgE) ce qui rend votre chien susceptible à toutes sortes d’allergie (De la peau, des composants inhalés, chocs anaphylactiques pouvant entraîner la mort)
- Quand les vaccins contiennent à la fois de l’aluminium et du mercure, ces risques augmentent. L’aluminium réduit en effet la capacité du corps à éliminer le mercure, qui devient alors plus toxique.
- Certains vaccins contiennent des virus et des “matériaux protéiques” qui conduisent à des maladies auto-immunes. C’est le cas du SV40 ou virus du singe inclus dans le vaccin contre la polio et qui en plus cause le cancer. Reconnu comme tel après quelques décennies de “batailles”. Très probablement d’autres vaccins comportent les mêmes risques.
- Dans le cas de vaccins bactériens, l’antigène provoque la même immunopathologie que la maladie même. C’est particulièrement vrai pour les vaccins contre la maladie de Lyme et la leptospirose, qui peuvent conduire à des insuffisances rénales et la mort.
C’est difficile d’accepter ce risque lorsque l’on sait que la maladie d’origine n’est, elle, pas mortelle pour le chien (Attention : la maladie de Lyme est beaucoup plus dangereuse et laisse des séquelles pour les humains)
Mais la liste ci-dessus n’est qu’une partie des composants des vaccins car beaucoup sont cachés, même pour les autorités, au prétexte de “secret de fabrication” ou “propriété intellectuelle”. Nous avons trouvé dans la littérature américaine un extrait du Formulaire officiel de composition du vaccin RabVac®3. Voir la colonne concentration : “proprietary – trade secret” !

Vaccination et conséquence : réactions dangereuses (effets secondaires)
Voyons déjà la version officielle américaine, celle de l’American Veterinary Medical Association (AVMT), pas particulièrement en pointe sur le sujet et plutôt pro-vaccins(1).
Les conseils de vaccination de cette “commission” fait in fine jurisprudence dans tous les pays du monde. Voila ce qu’ils “reconnaissent” sur les réactions du chien dans les heures qui suivent la vaccination :
- Inconfort et enflures au point de vaccination
- Petite fièvre
- Fatigue
- Diminution de l’appétit et de l’activité
- Éternuements, écoulement nasal ou autres signes respiratoires sur une période de 2 à 5 jours après avoir reçu un vaccin interastral.
L’AVMT ajoute cette recommandation “d’être attentif à des effets secondaires plus sérieux mais moins communs.”
Le Dr Schultz (Vétérinaire et immunologiste) est beaucoup plus complet sur le sujet. Il a consacré plus de 40 ans de sa vie de vétérinaire à dénoncer les vaccinations “à tout va”. Voici les “effets secondaires” dus aux vaccins qu’il a répertoriés.
Réactions simples :
Léthargie, perte de poils, changement de couleur au point d’injection, fièvre, douleurs, fatigue, refus de manger, conjonctivites, éternuements, ulcères dans la bouche
Réactions moyennes :
Immunosuppression (inhibition du système immunitaire), changement de comportement, vitiligo, perte de poids (Cachexie), baisse de la production de lait, boiterie, granulomes abcès, urticaire, œdème de la face, atopie, maladie respiratoire uvéites allergique (Yeux bleus)
Réactions sévères :
Sarcome au point de vaccination, anaphylaxie, arthrite , polyarthrite, polyarthrite, hypertrophie, ostéodystrophie , anémie hémolytique auto-immune, thrombocytopénie à médiation immunitaire (IMTP), maladie hémolytique du nouveau-né, maladie de la thyroïde, glomérulonéphrite, déclenchement ou aggravation de la maladie de vaccination, myocardie, encéphalite post-vaccinale, polynévrite, épilepsie, avortement, malformations congénitales, mort du fétus ou de l’embryon, échec à concevoir. Cette liste fait froid dans le dos !
(1) Lorsque vous vous fiez à un fabricant de vaccins pour vérifier le risque de réaction, savez-vous que les “résultats” sont systématiquement donnés pour des tests effectués sur des chiens de race Beagles ? Pourquoi selon vous ? Parce qu’ils réagissent moins que les autres races aux effets secondaires des vaccins !
Vaccin et perturbations du système immunitaire complexe et fragile
Le système immunitaire ne se réduit pas seulement aux globules blancs du sang (lymphocytes et phagocytes) et à la chasse aux bactéries et virus des maladies “vaccinables”.
Il comprend aussi des protéines, dont certaines sont spécialisées (les anticorps par exemple).
Ces globules ne sont pas seulement dans le sang, mais partout dans le corps, en particulier le long du tube digestif, la salive, etc.
Le foie aussi est aussi un site de fabrication de protéines. La thyroïde, les surrénales, le pancréas, etc., tous les organes concourent à la lutte contre les intrus.
C’est aussi vrai pour certaines cellules qui se protègent par une “surface” immunitaire.
Tout fonctionne normalement en harmonie.
Le système immunitaire est terriblement complexe, fragile et facilement “déséquilibré” (voir notre article sur le système immunitaire – à venir..). Il est habituellement bien rodé pour combattre les micro-organismes de toute nature lorsqu’ils arrivent naturellement … “par les voies naturelles” que sont la bouche, la respiration, etc… A l’inverse, un vaccin est habituellement injecté directement dans le sang, ce qui n’est pas tout à fait la même chose !
Le système immunitaire détruit aussi tout ce qu’il ne reconnait pas comme faisant partie du corps qu’il protège, que ce soit des cellules malfaisantes ou au contraire bienfaisantes.
Que se passe-t-il lors de la vaccination ?
Le vaccin est injecté directement dans le sang. Les “microbes”, ne seront pas “repéré”, par exemple, dans la bouche ou le tube digestif (1) comme c’est le cas lors d’une “invasion “naturelle”. Ils auraient déjà été en partie combattu ou même éradiqués, dans la salive ou dans le tube digestif.
Autres risques de la vaccination excessive. La réalité d’aujourd’hui
Par ailleurs, les autres risques de vaccination peuvent provenir de :
- L’injection brutale d’une dose massive d’antigènes, même si les microbes sont “atténués”.
Beaucoup d’immunologiste pensent que le système immunitaire est alors stressé au point qu’ensuite, il peut ne plus reconnaître les éléments à protéger des “mauvaises” cellules à combattre.
Toutes sont liées au fonctionnement du système immunitaire.
Cela expliquerait toutes les maladies relativement récentes que sont les maladies auto-immunes, certaines allergies, des problèmes articulaires et des maladies chroniques pour lesquelles les médicaments sont inopérants à moyen et long terme. Dans tous ces cas de maladie, le système immunitaire s’est “retourné” contre les organes qu’il devrait protéger et qu’il considère désormais comme des “étrangers”.
Ce sont des maladies lourdes, longues, souvent douloureuses, coûteuses, qui ne peuvent guérir qu’après remise en état du système immunitaire, si cela est encore possible.
- Le nombre de vaccins injectés simultanément. Deux, 3, jusqu’à 8 vaccins différents sont injectés en même temps. Ce peut être la maladie de Carré, parvovirus, adenovirus 1 et 2, parainfluenza, leptospirose, corona, etc…
Le système immunitaire n’arriverait plus alors à “différencier” les pathogènes. Rien de surprenant non plus que nos chiens réagissent fréquemment dans les heures, les jours ou les mois qui suivent un vaccin !
Imaginez vous faire vacciner pour le tétanos, l’hépatite, la méningite, la rage et la tuberculose par LA MÊME INJECTION. Imaginez la surcharge que çela ferait à votre système immunitaire. Nous ne nous sentirions pas en pleine forme après… mais c’est pourtant ce qu’on fait à nos animaux.
- La “technique” de test de ces vaccins, très éloignée de la réalité. Les vaccins sont testés séparément par le fabriquant (pour déterminer les effets secondaires). Ils le sont souvent sur une courte période, pour noter les effets non désirés. Ce qui évite “aux testeurs” d’être confrontés aux effets secondaires sévères à moyen et long terme ou chroniques.
De plus, l’injection comprend 2 ou plusieurs vaccins. En laboratoire, ils ne sont jamais (officiellement au moins) “étudiés” ensemble (à tout le moins les essais avec des combinaisons de vaccins ne sont jamais publiés).
Et tout le monde sait que la combinaison de “médicaments” multiplie les actions et réactions (pour le bien quelquefois, telle la tri ou quadri-thérapie dans le traitement du sida).
(1) La bouche et le tube digestif comportent 70 à 80% des “capacités” du système immunitaire “global”.
Qui s’intéresse sérieusement au risque de vaccination de nos chiens ?
Beaucoup d’études soulignent les risques de vaccination qui sont le plus souvent ignorés dans la pratique vétérinaire.
Pourtant, elles font apparaître un lien étroit entre vaccinations et maladies “lourdes” telles que certaines maladies auto-immunes, des allergies, maladie de la thyroïde, maladies qui deviennent chroniques et problèmes d’articulations.
Le monde scientifique vétérinaire semble assez partagé et une faible partie seulement est concernée du bien être de nos chiens. Et pour rendre le problème plus obscure, très peu des effets secondaires sont répertoriés et reportés :
- Souvent les effets secondaires sérieux apparaissent des semaines ou des mois après la vaccination et personne ne fait le lien (ou veut faire le lien) avec les vaccins.
- Peu de vétérinaires ont été vraiment sensibilisés pendant leurs études, sur le sujet des risques de la vaccination. Leur formation complémentaire lorsqu’ils sont en exercice, est biaisée car donnée par les laboratoires fabricant les vaccins.
- Dr Jourdan (Vétérinaire) a calculé que 15% des revenus des vétérinaires américains provenaient des actes de vaccination et 65% des actes thérapeutiques consécutifs aux traitements des maladies générées par ces mêmes vaccins. Les vétérinaires ne sont pas des missionnaires. Est ce bien différent en France ?
Il est évident que ces conditions ne risquent pas d’engendrer une prise en main sérieuse et générale de ce problème de la vaccination par le monde vétérinaire.
Une petite minorité seulement s’intéresse aux risques vaccinaux. Ce qui conduit, toujours aux Etats Unis, le Dr Schultz à estimer que seulement environ 1% des conséquences des vaccinations sont remontées par les vétérinaires aux fabricants de vaccins. Et les autorités (aux Etats Unis et dans ce domaine, ce devrait être le Federal Department of Agriculture) n’ont pas à en être avertis – et ne le pas bien sûr !
Note
Plusieurs “recoupements” ont cependant été faits chez les humains entre prolifération de maladies chroniques (par exemple) et augmentation du nombre de vaccination et réciproquement . C’est le cas du vaccin Haemophilus influenzae type B et l’apparition concomitante du diabète type 1.
En France, il existe peu de statistiques, ce qui n’est pas le cas aux Etats Unis.
A notre époque, 50% des chiens adultes américains décèdent du cancer.
En 2010 seulement, la compagnie VPI (le plus gros assureur d’animaux domestiques aux États-Unis) a reçu 71 000 demandes d’indemnisation pour cause de cancer.
De plus, souvent nos chiens vieillissent mal et souffrent de maladies chroniques (diabète, maladie du système immunitaire, etc…). Pourtant, nous n’avons jamais autant vacciné nos chiens, ce qui devrait les rendre d’autant plus “résistants” !
Risque d’effets secondaires majeurs à chaque nouvelle vaccination
Et pourtant, le nombre d’effets secondaires augmente plus vite que le nombre de vaccination. Deux études au moins ont démontré cet état de fait :
- L’immunologiste H Fudenberg a déduit de ses études que “un vaccin baisse l’immunité de 50% au niveau de la cellule même. Pour 2 vaccinations, cette baisse est de 70%”. C’est à dire que les cellules du système immunitaire ne régissent pratiquement plus.
- Une autre étude faite à l’Université de Purdue (Etats Unis) par Dr Larry Glickman a trouvé que le risque de réaction (Effets secondaires) augmente de 27% pour chaque vaccination pour un chien de moins de 10 kg et de 12% pour un chien plus gros.
Cette étude maintenant bien connue et reconnue sous le nom de Purdue Study(1), a montré que les chiens développaient une auto-immunité contre la plupart des protéines importantes de leur propre corps après un unique vaccin, incluant même leur propre DNA. Cela est ce que l’on appelle les maladies auto-immunes
Que penser alors de l’efficacité possible après la cinquantaine de vaccins préconisée pour le chien par les autorités vétérinaires françaises, tout au long de sa vie ?
Ceci explique aussi que ce n’est pas parce que votre chien n’a pas eu de réaction avant qu’il n’en aura pas lors de prochaines vaccinations.
Et cela conduit à une question simple et basique : comment a été décidé le nombre de vaccinations pour votre chien ? Qui était à la manœuvre ?
Note
(1) Ceci peut expliquer pourquoi la plupart des maladies chroniques semblent avoir pour base une réaction auto-immune. De ce fait, beaucoup de problèmes chroniques dus à la “vaccinose” (Abus de vaccins) ne réagiront à aucun traitement tant que cette condition d’auto-immunité ne sera pas contrôlée et réparée (Si cela est encore possible).
Une autre conclusion est le fait que les chiens de petite race subissent des effets secondaires plus souvent et plus sérieux. En effet il n’y a pas de différentes tailles d’ampoules de vaccin en fonction de la taille du chien, ce qui veut dire que les petits chiens reçoivent plus de vaccins relativement à leur poids.
L’étude du Dr Glickman semble expliquer ce problème, les risques d’effets secondaires augmentant à chaque vaccination supplémentaire de 12% pour un gros chien et de 27% pour un petit chien.
Comment a été décidé le nombre de vaccinations pour votre chien ?
Il faut remonter un peu dans l’histoire vétérinaire récente américaine. Mais n’ayez crainte, nous reviendrons ensuite en France, car tout est lié !
C’est en effet une étrange histoire américaine : au début des années 1970, le ministère de l’agriculture américain (United States Department of Agriculture – USDA) décida que la vaccination des chiens devait être annuelle (Officialisé en fait en 1978). Ceci après quelques études qui avaient durées .…. quelques semaines seulement (Même pas un an !).
Au milieu des années 70, le vétérinaire immunologiste Dr Ronald Schultz et quelques autres ont étudié des chiens ayant survécu à la maladie de Carré ou des chats à la panleukopenie. Ils restaient totalement immunisés plusieurs années après avoir survécus à ces maladies. D’où pourquoi les re-vacciner tous les ans ?
Ces mêmes études prolongées sur des durées encore plus longues par ce même Dr Schultz et Dr Scott, sur des chiens ayant eu la maladie de Carré et le Parvovirus canin, montrèrent qu’ils étaient encore protégés 11 ans plus tard. Ils recommandèrent aux autorités une revaccination tous les 3 ans, et non pas 11 ans, par sécurité … et continuèrent leurs études.
En 2003, the AAHA Canine Vaccine Task Force (Commission spéciale sur la vaccination des chiens), sur la base de ces recherches (et d’autres), confirma que les vaccins avaient une efficacité d’au moins 7 ans.… ce qui déboucha sur un compromis de 3 ans entre scientifiques ayant des intérêts divergents (Dr Richard Ford, Professeur de médicine, North Carolina State University, et membre de la commission “Je peux dire qu’il n’y a aucune science derrière cette recommandation (compromis) de 3 ans …”).
A la suite de cette Commission, tous les fabricants de vaccins(1) confirmèrent par des études “de rattrapage” l’efficacité d’au moins 3 ans, des vaccins principaux (Maladie de Carré, Parvovirus et Adénovirus).
En 2006, Dr Shultz avaient étudié alors plus de 1000 chiens et déjà prouvé encore et encore que son protocole d’une seule vaccination pour chacun des 3 vaccins de base (et aucun vaccin ensuite), conduisait à une immunité pour toute la vie du chien.
En 2011, la AAHA remis à jour ses recommandations pour une vaccination “tous les 3 ans ou plus”, et d’ajouter “que l’on peut espérer une immunité de 5 ans pour les chiens en bonne santé et pour tous les vaccins de base”. Il a fallu 7 ans entre 2003 et 2011, pour prendre cette décision evidente.
La AAHA a re-actualisé en septembre 2017, le planning de vaccinations recommandées. Rien n’est bien nouveau : ils distinguent les vaccinations principales (“Core vaccinations” ) et les autres (“Non-core vaccinations”). Pour lire ce rapport cliquez sur 2017 AAHA Canine Vaccination Guidelines
Les vaccinations principales sont la Maladie de Carré, le Parvovirus, l’Adénovirus‑2, le Parainfluenza et la Rage canine.
La AAHA précise que la 1ère vaccination soit faite avant ou après 16 semaines, puis un rappel un an plus tard, les rappels suivants se faisant “tous les 3 ans ou plus”.
Ce n’est pas du tout ce protocole que préconisent les vétérinaires immunologistes chercheurs tels que Dr Schultz (Voir ci-dessous)
Résultats de vraies recherches sur la durée d’immunisation des vaccins
Les recherches actuelles montrent que la durée d’immunité des vaccins principaux pour le chien sont au moins les suivants :
Vaccins | Exposition à la maladie | Quantité anticorps élevé |
Maladie de Carré | 7 ans | 15 ans |
Parvovirus | 7 ans | 7 ans |
Adénovirus | 7 ans | 9 ans |
Rage canine | 3 ans | 7 ans |
En conséquence, les vaccinations du chien adulte contre la maladie de Carré et celle Adénovirus sont efficaces durant toute la vie du chien. Dr Schultz a démontré que 95% des jeunes chiens vaccinés après 16 semaines (ou plus tard) , pour ces maladies, seront protégés jusqu’à leur mort.
Dr Schultz reconnait que les vaccins contre des maladies potentiellement mortelles (Rage, maladie de Carré et parvovirus) peuvent être bénéfiques, mais à un rythme beaucoup moins fréquent que ce qui est actuellement préconisé.
Mais il est contre les vaccinations des maladies “secondaires” telles que leptospirose, bordetella et Lyme dont les vaccins risquent d’être plus dangereux que la maladie même.
Et connaissez vous la dernière trouvaille ? Aujourd’hui, la mode “qui fait rage” (Sans jeu de mot) aux Etats Unis est un vaccin contre la grippe des chiens ? Elle fait suite à l’arrivée en décembre 2017 de Corée du Sud de 2 chiens porteurs du virus de cette grippe canine et qui ont transité par New York. C’est très probablement une question de mois avant que cette mode atteigne la France – Voir sur notre article sur la vaccination de la grippe du chien en cliquant sur “MON CHIEN TOUSSE DE LA GRIPPE : doit-on vacciner ?”.
Note
Pour la situation en France, voir notre article en cliquant sur VACCINATIONS OBLIGATOIRES DU CHIEN : aucune en France, sauf les cas particuliers !
Contrairement à ce que ce titre laisse supposer, les cas particuliers sont nombreux … ainsi que les vaccins recommandés … ainsi aussi le nombre de rappels : plus de 50 dans la vie d’un chien !
Concernant la durée de protection réelle du vaccin de la rage, une étude française de 1992 a prouvée que l’immunité de ce vaccin dure au minimum 5 ans. L’équipe du Dr. Schultz , en prolongation de l’étude française, a aussi confirmé que le vaccin protège pendant 5 ans et même 7 ans.
Vaccination, vaccins, big business entre amis. Les fabricants mondiaux
D’après une étude américaine (Consultant MarketsandMarkets), le marché global vétérinaire des vaccins aux Etats Unis de 5,5 milliards de dollars en 2015 devrait atteindre 7,8 milliards en 2020, soit un bond de 31% en 5 ans et 8,8 milliards en 2022.
Il faut que vous sachiez aussi que la AAHA dont on a parlé plus haut, est financée principalement par 4 fabricants internationaux de vaccins : Merck, Merial(1), Pfizer et Boehringer.
D’après un journal américain, certains membres vétérinaires de cette commission semblent avoir des intérêts personnels liés aux ventes de vaccins. Ce qui soulève un conflit d’intérêts et une suspicion au sujet des recommandations faites par cette commission sur le rythme des vaccins ainsi que sur la lenteur de la mise à jour de ses décisions.
D’où ce qu’a écrit le Dr Ford , membre de cette commission, prend tout son sens : les rappels de 3 ans préconisés en 2003, n’avaient “rien de scientifique mais le résultat d’un compromis entre les membres de la commission”.
Note :
Les informations ci-dessous peuvent être lues sur WIKIPEDIA à https://fr.wikipedia.org/wiki/Merial_(entreprise)
(1) En août 1997, création de Merial, fusion de Rhône Mérieux et de MSD AgVet, numéro 1 mondial de la santé animale et filiale de Merck Co.
En septembre 2009, Merial devient filiale à 100% de Sanofi-Aventis, à la suite du retrait de Merck Co. Merck devient propriétaire de la nouvelle entité santé vétérinaire Intervet/Schering Plough basée à Boxmeer aux Pays-Bas.
En septembre 2011, le siège mondial de Merial est déplacé au siège européen à Lyon dans le 7e arrondissement après son départ de Duluth, Géorgie, qui reste le siège des activités américaines de Merial.
Le 1er janvier 2017, Sanofi a cédé Merial à la société allemande Boehringer Ingelheim. Ce qui semble montrer pour le moins que le marché mondial des vaccins (pour les chiens au moins) est international et partagé entre amis. Et que ces sociétés de fabrication de vaccins sont aussi expertes au “Monopoly” des ventes et échanges de sociétés.
Vaccination du chien : peut on s’en passer sans risque ?
C’est à la fin du 19e siècle que le vaccin a été reconnu comme tel avec la découverte de celui de la rage par Pasteur. Mais l’essor des vaccins ne s’est produit qu’après la 2ème guerre mondiale.
Comment les chiens de nos parents s’en sortaient donc avant et sans vaccin ?
Leur corps produisait naturellement et progressivement les anticorps contre tous les microbes et bactéries que le chien avait croisés.
Par ailleurs, les chiens semblaient être moins fragile car leur système immunitaire et organes n’étaient pas “endommagés” par une alimentation et des médicaments industrialisés actuels.
Enfin, les moins robustes mourraient tout simplement mais tous les autres et leur descendance en ressortaient renforcés. Darwin et la sélection naturelle, vous connaissez ?
Mais je crois qu’un régime “à la dure” de ce type sans vaccination, appliqué aux chiens d’aujourd’hui, ne conduirait qu’à une catastrophe sanitaire. La multiplication des vaccins a permis de diminuer ou même d’éradiquer certaines maladies.
Tel est le cas de la diphtérie pour les humains. Aux Etats Unis où ces statistiques sont faciles à trouver, il y avait 150 malades pour 100 000 personnes au début du 20eme siècle. Ce chiffre a baissé à partir de 1923, date d’introduction de la vaccination, pour atteindre 0 en 1977.
Parallèlement, le nombre de maladies sérieuses chroniques, auto-immunes, des articulations, des allergies, le cancer, a augmenté en même temps que l’utilisation à outrance des vaccinations.
Les chiens de notre époque sont souvent fragiles, la plupart du temps sous médicaments ou compléments et font la queue chez le vétérinaire.
Depuis quelques années le rapprochement vaccins – maladies a été relevé par des professionnels indépendants et surtout pour les humains. Existe-t-il une voie raisonnable que vous pourriez utiliser pour votre chien ?
Eviter la sur-vaccination : votre chien est-il toujours immunisé ?
Il existe un test sanguin qui permet de déterminer le niveau de protection d’un animal aux trois maladies de base (Maladie de Carré, Parvovirus et Adenovirus). Il est appelé “test de titrage” qui est également disponible pour vérifier le niveau de protection contre la rage (Aux Etats Unis seulement pour l’instant).
C’est une “simple” analyse sanguine faite par des laboratoires spécialisés, qui vérifie la présence d’anticorps dans le sang. Elle est très peu connue, en tout cas ne bénéficiant d’aucune “publicité” de la part des vétérinaires ! Et pour cause, cela limiterait sérieusement le nombre de vaccins de rappels.
Explication : le coût d’un test de titrage qui détermine la présence d’anticorps des 3 maladies de base est plus élevé, environ 2 fois plus, qu’une vaccination. Le prix final dépend surtout de la marge du vétérinaire.
Mais si nous comparons ce coût aux prix les dizaines de vaccinations évitées, aux maladies récurrentes et aux effets secondaires, il est clair que le titrage est beaucoup plus économique – et évite les risques de santé de votre chien.
Aux Etats Unis et au Canada, ces tests de titrage deviennent assez courant. Ils évitent des vaccinations inutiles et dangereuses. La prise de sang est envoyée à des laboratoires spécialisés.
Depuis quelques temps, deux sociétés ( ZOETIS et BIOGAL) ont développé un test qui est fait directement par le vétérinaire et donne le résultat en 20 mn.
Le test de Biogal appelé VACCICHECK est disponible en France au Laboratoire KITVIA (http://www.kitvia.com/titrage-des-anticorps) – Tel 05 61 88 88 54.
En France, deuxième problème : beaucoup de vétérinaires restent “fixés” sur les vaccinations à outrance. Cependant le laboratoire Kitvia a des vétérinaires “correspondants” qui utilisent leur kit (Voir leur site).
Si votre vétérinaire n’est pas l’un d’eux et si vous êtes loin d’un vétérinaire “affilié”, peut être votre propre vétérinaire acceptera-t-il de se renseigner ?
S’il est peu coopératif à ce sujet, il avancera probablement que ces tests s’achètent au laboratoire par 12 à la fois.
D’où essayez de persuader vos ami(e)s qui ont un chien (ou si vous faites partie d’un club canin) de faire la même démarche. Si les demandes sont nombreuses, peut être fera-t-il l’effort ?
D’autant que son intérêt est d’aller vers cette pratique : ce qui se fait de l’autre côté de l’Atlantique prend 2 à 4 ans avant d’être aussi utilisé en Europe et 4 à 10 ans plus tard pour la France.
Risques des vaccins secondaires : faut-il vraiment les faire ?
Il est très important de dissocier les vaccins “secondaires” des vaccins principaux que sont la Maladie de Carré, Parvovirus et Adenovirus et la Rage.
Les vaccins secondaires ont généralement une efficacité courte et dans bien des cas, ne devraient pas être envisagés : les risques de réactions étant plus importants que les avantages qu’ils peuvent apporter (Voir plus haut – Dr Schultz). Voici en détails la majorité des vaccins secondaires :
Maladie | Efficacité | Durée de l’immunité | Risques – Effets secondaires |
Bordetella (Toux de chenil) | Intra-nasal : moyenne Injectable : faible | Courte | Faible |
Parainfluenza (Toux de chenil) | Intra-nasal : moyenne Injectable : faible | Moyenne | Faible |
Influenza (Grippe) | Inconnue (Nouveau) | Inconnue | Inconnus |
Leptospirose | Faible (Moins de 70%) | 2 semaines à 8 mois | Très élevé |
Lyme | Faible | 1 an | Moyen |
Corona | Faible | Inconnue | Faible |
Giardia | Faible | Inconnue | Moyen |
Existe-t-il des protocoles de vaccination plus légers et sans risque ?
Oh oui ! Mais en général, les vétérinaires sont discrets sur ce sujet.
Nous vous indiquons ce que le Dr Schutz préconise. Il est vétérinaire et immunologiste, avec plus de 40 ans d’expérience et a été propriétaire de plusieurs générations de chiens. Il sait de ce dont il parle et voici ce qu’il a écrit dans “Are we vaccinating too much ?” – Ronald Schulz, JAVMA, n°4, August 15th, 1995, page 421.
“Une dose seulement de vaccin vivant modifié, pour les seuls vaccins de base (Maladie de Carré, Adénovirus CAV‑2 et parvovirus CPV‑2) et lorsqu’ils sont administrés au chiot à 16 semaines ou plus, va permettre l’immunité pour des nombreuses années ou même à vie, à un pourcentage élevé de chiens (95%) ”
Les règles de vaccination devraient donc être :
- Vacciner avant 8 à 10 semaines est inutile car pratiquement tous les anticorps injectés seront anéantis par les anticorps déjà présents hérités de la mère
- Ne faire vacciner que si le chiot ou l’adulte est en forme le jour de la vaccination
- Renforcer le système immunitaire de l’adulte 3 ou 4 semaines avant et 2 ou 3 semaines après la vaccination (Plantes, homéopathie)
- Ne commencer à vacciner qu’après 16 semaines.
Garder le chiot isolé des autres chiens étrangers, si vous craignez une contamination. Les risques pour le chiot sont toutefois mineurs comparés aux conséquences “à vie” possibles sur la santé du chiot vacciné trop tôt, qu’il traînera jusqu’à sa mort - Demandez à votre vétérinaire d’injecter un seul vaccin à la fois ou 2 maximum et espacer d’une semaine l’injection des différents vaccins.
- Commencer par les 3 vaccins de base seulement : Maladie de Carré, Hépatite de Rubarth et Parvovirose.
Décaler celui de la rage de 4 semaines. - Ne pas vacciner contre la Leptospirose ou la Toux de chenil.
Le faire éventuellement et si nécessaire uniquement (Mise en pension lorsque exigé ou pour voyager à l’étranger par exemple) - Ne pas faire de rappel un an plus tard – ou les années suivantes
- Faire un test d’anticorps du sang éventuellement 5 ou 6 ans plus tard afin de vérifier l’immunité de votre chien.
Le limiter à la Maladie de Carré, rage, Parvovirose.
L’objectif du Dr Schultz est simple :
- Eviter les vaccinations inutiles, les limiter au minimum
- Préparer le chien et renforcer son système immunitaire
- Eviter le plus possible de perturber le système immunitaire
- Vérifier éventuellement la présence d’anticorps dans le sang du chien
A noter que Dr Schultz n’est pas le seul vétérinaire de la planète à préconiser des protocoles de vaccinations allégés et prudents. C’est le cas de tous les vétérinaires holistiques.
Expérience de lecteurs
Expérience de lecteurs
Espi59 :
Après l’avoir ausculté, mon véto a fait son vaccin. le même que d’habitude, même marque , même fournisseur… 5 mn après ma chienne est devenu toute raide les pattes tendues à l’extrême vers l’arrière et la tête aussi, elle s’est mise à hurler ! C’était impressionnant. Le vétérinaire l’a emmenée immédiatement en salle d’urgence. Il est revenu un moment après nous dire qu’elle était dans le coma, qu’il l’avait mise sous oxygène et fait une grosse injection de cortisone. Il est reparti et encore un moment après il est revenu nous dire qu’elle faisait un choc anaphylactique à cause du vaccin, qu’il la laissait sous oxygène et la mettait sous perfusion. Nous sommes rentré chez nous, le pronostic était très mauvais. Nous l’avons récupérée 2 h plus tard dans un état d’extrême fatigue mais elle semblait avoir retrouvé toute ses fonctions, elle arrivait à se tenir sur ses 4 pattes (en titubant). Aujourd’hui, elle à l’air d’aller mieux. Elle boit, aboie, marche à peu près bien (j’imagine qu’elle doit avoir mal partout) fait pipi, a même mangé comme d’habitude…
Plantes et homéopathie : éviter les risques, si vaccination nécessaire
L’utilisation des plantes peut éviter totalement ou partiellement les risques lorsque la vaccination est nécessaire.
Elles ne remplacent pas la vaccination. Mais les plantes agissent avec et sur le système immunitaire.
Il ne faut en effet pas oublier que le système immunitaire est au centre du “mécanisme” vaccinal et des réactions secondaires qui conduisent à des séquelles qui peuvent être irréversibles et/ou à vie.
Afin de développer entièrement ce point important pour vous et votre chien, nous traitons l’utilisation des plantes lors des vaccinations, dans un article séparé. Cliquez sur VACCINATION : préparez votre chien avec les plantes.
Il existe également un remède homéopathique appelé “Nosodes” qui est dit remplacer la vaccination.
Chaque Nosode correspond à une maladie vaccinable. Il est obtenu à partir de “résidus” de la maladie, dilués dans un liquide “support”, à la manière des remèdes homéopathiques habituels. Bien qu’en quantités infinitésimales, les Nosodes “activent” le système immunitaire, à la manière des vaccins.
Cette solution de protection contre les maladies, connue depuis des décennies, revient d’actualité. Voir également notre articles VACCINATION : préparez votre chien avec les plantes.
Bibliographie (Livres et articles)
1. Dr. Golden ‘Vaccination and Homeoprophylaxis : A Review of Risks and Alternatives’, and ‘Homoeprophylaxis : A Ten Year Clinical Study’.
2. Je nourris mon chien naturellement – Swanie Simon – Thierry Souccar Editions – 2014
3. Natural Heath for dogs and cats – Dr Pitcairn – Rodale Editions
4.Herbal dog care – Dr Kidd – Storey Publishing – www.storey.com
5. Work Wonders : Feed Your Dog Raw Meaty Bones – Dr Tom Lonsdale – Rivetco Pty Ltd
6. Toxic croquettes – Zutta Ziegler – Souccar Editions
7. Comparaison des rations Barf (Biologically appropried raw food) aux recommandations nutritionnelles du chien sain ou malade ‑École nationale vétérinaire d’Alfort – Année 2011 – Thèse pour le doctorat vétérinaire présentée par Elise, Jeanne, Aline CAMPAGNOLLE Herbs for pets
8. Mary Wulff-Tilford – Bow Tie Press
9. Le Manuel Vétérinaire Merck – 3ème edition française
10. Dogs Naturally Magazine (www.dogsnaturallymagazine.com/)
11. Laboratoire Merial – http://veto.merial.com/vet/vets/vaccin_chiot.asp
12. Egalement https://fr.wikipedia.org/wiki/Merial_(entreprise)
13. Programme de vaccination du chien
14. Quels vaccins obligatoire pour votre chien
15. Nosodes : Can They Replace Vaccines ?
16. To titer or to revaccinate
17. Titer Testing et Titer Testing Your Dog
18. Les nosodes, une alternative aux vaccins
Conseils vétérinaires et réglementation
Les valeurs et conseils que vous pourrez trouver sur ce site sont purement informatifs de leur existence dans la littérature spécialisée. En aucun cas, les informations données sur notre site ne constituent une prescription de traitement ou une allégation. Ils ne peuvent pas se substituer à l’avis de votre vétérinaire ou du thérapeute de votre chien. Seul votre vétérinaire peut poser un diagnostic précis et recommander l’utilisation d’un produit. Si tel n’est pas le cas, nous ne saurions être tenus pour responsables d’une prise inadaptée des produits présentés ou cités.