ATTACHER SON CHIEN EN VOITURE : pourquoi c’est si important pour votre sécurité

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Attacher son chien en voi­ture, cela devrait être sys­té­ma­tique. C’est une règle essen­tielle qui ne devrait souf­frir d’au­cune excep­tion, que ce soit pour cir­cu­ler en ville à 50 km/​h ou sur l’au­to­route. Car votre vie est en jeu. C’est un pro­blème majeur de sécurité.

Il est assez éton­nant que si peu d’in­for­ma­tions sérieuses et docu­men­tées sur ce sujet sont dis­po­nibles sur les risques de ne pas atta­cher son chien en voi­ture. Il est aussi éton­nant que les fabri­cants d’ac­ces­soires pour main­te­nir le chien dans une voi­ture, n’ont pas pris la mesure du pro­blème. Ce qu’ils pro­posent est d’une fra­gi­lité incroyable au regard des forces en jeu : la plu­part des équi­pe­ments dis­po­nibles sur le mar­ché n’ap­portent aucune sécu­rité pour le chien et pour les autres passagers.

C’est pour­quoi nous déve­lop­pons en détail ce “pro­blème” de la sécu­rité pour tous les pas­sa­gers, chien com­pris : pour vous sen­si­bi­li­ser et évi­ter l’irréparable.

Attacher son chien en voiture : le problème le plus sérieux de collision

Le pro­blème est en effet simple. Dans le cas le plus sérieux, et c’est ce cas qu’il faut envi­sa­ger, ce sera une col­li­sion fron­tale de votre voi­ture avec :

  • Une autre voiture
  • Un mur
  • Un camion (ou une voi­ture plus lourde que la votre)

Inutile de pré­ci­ser que c’est le der­nier cas qui est le plus bru­tal et dan­ge­reux parmi ces 3 pos­si­bi­li­tés par ailleurs pas très réjouissantes.

Que devient votre chien non attaché dans votre voiture ?

Le deuxième aspect du pro­blème est tout aussi simple : que devient le chien (et les autres pas­sa­gers de la voi­ture) pen­dant la frac­tion de seconde (de l’ordre de 1/​10ème de seconde) entre le moment où votre voi­ture touche “l’obs­tacle” et l’ar­rêt 110ème de seconde plus tard (0,1 s), de la voi­ture dans laquelle vous êtes ?

Si vous rou­liez à 50 km/​h (ou 13,9 m/​s) au moment de l’im­pact, la voi­ture et son “contenu” va décé­lé­rer en 110ème de seconde jus­qu’à la vitesse 0. La décé­lé­ra­tion subie par la voi­ture sera de 130 m/​s² (Vitesse en m/​s soit 13,9 m/​s divisé par le temps de 0,1 seconde : 13,9 m/​s / 0,1 s = 139 m/​s²). La résis­tance du corps humain (et approxi­ma­ti­ve­ment celui du chien) est :

  • jusqu’à 100 m/​s² ou 10 g(1), la décé­lé­ra­tion est sup­por­table pour des pas­sa­gers jeunes, en bonne santé et ceinturés.
  • à par­tir de 150 m/​s² ou 15 g, risque de lésions au visage et aux membres, fort risque d’hémorragie interne.
  • au-​delà de 200 m/​s² ou 20 g , aucune pos­si­bi­lité de survie.

Vous consta­tez donc qu’a­vec une décé­lé­ra­tion de 139 m/​s, nous sommes déjà dans la zone ” risque de lésions au visage et aux membres, fort risque d’hémorragie interne”. Mais cela n’est pas tout. Car ce cal­cul est sur la base la plus “douce” de col­li­sion(2). Voir la suite.

Attacher son chien en voiture
Avion de chasse au décollage

(1) L’accélération de la pesan­teur (Qui nous main­tient au sol) est de 9,81 m/​s². Elle est dite de 1 g.
(2) En aéro­nau­tique, l’accélération ou la décé­lé­ra­tion est expri­mée en « g ».
D’où l’occasion de vous rap­pe­ler que les pilotes d’avions de chasse peuvent “encais­ser” des accé­lé­ra­tions de près de 10 g alors que dans un acci­dent, la décé­lé­ra­tion peut être supé­rieure à 14 g (139 m/​s²) soit 40% plus éle­vée.
D’où la dan­ge­ro­sité pour les pas­sa­gers des acci­dents de voi­ture en com­pa­rant les décé­lé­ra­tions qu’ils subissent aux accé­lé­ra­tions des pilotes de chasse.
Mais là s’arrête la com­pa­rai­son : les pilotes de chasse peuvent subir ces accé­lé­ra­tions pen­dant plu­sieurs secondes (Avec une com­bi­nai­son spé­ciale anti‑g pour évi­ter l’é­va­nouis­se­ment par non irri­ga­tion du cer­veau) alors que la durée de la décé­lé­ra­tion lors d’un acci­dent dure moins de 1 dixième de seconde (Mais sans com­bi­nai­son spéciale).

Le chien non attaché dans la voiture : le facteur “vitesse” aggravant

Le fac­teur vitesse : nous avons cal­culé sur la base de 50 km/​h, c’est-​à-​dire une conduite en ville. Mais sur auto­route ? A 130 km/​h, la décé­lé­ra­tion, sur la même valeur de temps d’ar­rêt de 0,1 seconde, serait de 361 m/​s², dans la zone “au-​delà de 200 m/​s² ou 20 g , aucune pos­si­bi­lité de sur­vie”. Mais il est vrai aussi que le plus sou­vent, le conduc­teur à l’ap­proche de l’obs­tacle freine à fond, ce qui fait qu’au point d’im­pact, la vitesse est le plus sou­vent infé­rieure à 130 km/​h, d’où un choc moins sévère.

Le chien non attaché dans la voiture : le facteur “temps de décélération”

Le 2ème fac­teur aggra­vant est le temps de décé­lé­ra­tion que nous avons pris égal à 0,1 seconde. En réa­lité, il peut être beau­coup plus court dans au moins les 2 cas suivants :

  • Dans le cas de col­li­sion avec des voi­tures anciennes. Aujourd’hui, les fabri­cants de voi­tures ont conçu l’a­vant de façon à ce qu’il se “plie” sous l’im­pact. Ce qui fait un effet “res­sort” qui aug­mente la durée de décé­lé­ra­tion (les 0,1 s de l’exemple ci-​dessus). Les voi­tures anciennes, au contraire, étaient construites avec des “pare-​chocs” en acier, rigide, for­te­ment atta­chés aux “lon­ge­rons” sous la voi­ture. Ce qui condui­sait à un “temps d’ar­rêt” sans élas­ti­cité de l’a­vant du véhi­cule, très infé­rieur à 0,1 s. En consé­quence, cela aug­men­tait la décé­lé­ra­tion. Par exemple, à 50 km/​h, avec un temps d’ar­rêt deux fois plus court (0,05 s), la décé­lé­ra­tion devient le double soit 278 m/​s².
  • Lors d’une col­li­sion avec un camion. D’une part les camions ont peu ou pas de “frois­se­ment” de leur par­tie avant en cas de choc. D’autre part, la masse du camion com­pa­rée à celle de la voi­ture fait que cette der­nière “recule” en même temps que le camion conti­nue d’a­van­cer en per­dant de la vitesse. Cela veut dire que la vitesse de la voi­ture passe de +13,9 m/​s à 0 m/​s puis repart en sens inverse, pous­sée par le camion (Par exemple à “moins” 10 m/​s). Ce qui fait que la décé­lé­ra­tion est celle d’une vitesse d’im­pact de 13,9 + 10 soit 23,9 m/​s – ceci conduit à une décé­lé­ra­tion de 239 m/​s² alors que votre voi­ture rou­lait seule­ment à 50 km/​h (ou 13,9 m/​s).

Dans ce qui pré­cède, nous avons dis­cuté seule­ment de la voi­ture elle-​même. Les pas­sa­gers et votre chien suivent les “règles” de cal­cul ci-​dessus à condi­tion d’être fer­me­ment “fixés” aux sièges, eux mêmes fixés à la car­ros­se­rie. Si ce n’est pas le cas, les pas­sa­gers et votre chien “vole­ront” à l’in­té­rieur de la voi­ture pen­dant ces 110ème de seconde fati­diques. Mais pour aller où ? Tout sim­ple­ment pour aller s’é­cra­ser sur le volant, sur le tableau de bord, contre le pare-​brise, sur un mon­tant de l’ha­bi­tacle en fra­cas­sant tout ce qui se trouve sur leur pas­sage, par exemple la tête des pas­sa­gers avant.

Et là encore, sans vou­loir noir­cir le tableau, c’est pire car si votre front vient s’é­cra­ser sur le mon­tant du pare-​brise qui est très dur (et si ce der­nier n’est pas “pro­tégé” par un air­bag), le temps d’ar­rêt pour que votre front passe de la vitesse de la voi­ture à 0 est très infé­rieur à 110 s, ce qui aug­mente la décé­lé­ra­tion dans des pro­por­tions extra­or­di­naires(1).

D’où l’im­por­tance :

  • Des air­bags sur le volant, le pan­neau de bord, le mon­tant du pare-​brise, laté­raux dans les portes
  • Des cein­tures de sécurité
  • De “fixer” votre chien très sérieu­se­ment, tou­jours à l’ar­rière ou dans le coffre – Voir ci-dessous.

(1) En effet, nous avons pré­cé­dem­ment pris comme base du temps de décé­lé­ra­tion 110ème de seconde, ceci parce que l’a­vant des voi­tures modernes a la capa­cité de se défor­mer (de s’é­cra­ser) de l’ordre de 0,5 à 1 m – ce qui prend env. 110ème de seconde. Si votre chien n’est pas fixé fer­me­ment” au siège, il s’en­vo­lera à la vitesse qu’il avait au début de l’im­pact (Soit 13,9 m/​s ou 50 km/​h) et ira s’é­cra­ser sur le mon­tant du pare-​brise fabri­qué en acier (donc très dur et très rigide) et sa vitesse au moment de l’im­pact pas­sera de 50 km/​h non pas en 110ème de seconde mais en 1100ème de seconde. Sa décé­lé­ra­tion sera donc 13,9÷0,01 = 1390 m/​s² – soit 10 fois plus que la décé­lé­ra­tion de la voi­ture ou des per­sonnes atta­chées à la voiture.

Que devient le “poids” du chien lors de la collision, qu’il soit attaché ou non ?

Lors d’un frei­nage, vous avez noté que tous les objets sont pré­ci­pi­tés vers l’a­vant. Mais avez-​vous une idée avec quelle force ?

Une autre règle de la phy­sique simple et uni­ver­selle donne la réponse : lors­qu’un corps de masse M (Son poids) est accé­léré, la force F pour le por­ter à cette accé­lé­ra­tion γ est pro­por­tion­nelle à son accélération :

F = M mul­ti­plié par l’accélération γ

Soit pour accé­lé­rer un corps de 10 kg à 139 m/​s², il fau­dra lui appli­quer une force F = 10 x139 = 1390 N ou env. 139 kgf.

A l’in­verse, lorsque ce corps de 10 kg est “décé­léré” (de 139 m/​s² à 0 dans notre exemple), la force qu’il “res­ti­tue” est égale à celle néces­saire à son accé­lé­ra­tion, soit à nou­veau F = M x γ (Mais de signe opposé, mais cela n’a pas d’im­por­tance pour notre cal­cul), donc une force égale à 1390 N ou 139 kgf.

Dans notre cas, un chien non atta­ché de 10 kg décé­léré à 139 m/​s² “pèsera” sur l’obs­tacle où il s’é­cra­sera, avec une force de 1390 N ou 139 kgf. A cet ins­tant pré­cis de l’im­pact, il “pèsera” donc bien 139 kg(1) et non pas 10 kg !

(1) Il fau­drait être Superman pour “rete­nir” assis votre chien sur la ban­quette arrière pour évi­ter (peut-​être) que votre chien ne soit “pro­jeté” vers l’a­vant du véhi­cule. Et ce n’est pas votre enfant qui pourra se char­ger de cette “mis­sion”, de rete­nir un “poids” de 139 kg, lors­qu’il est assis à côté du chien, même de 10 kg seulement.

Le chien doit toujours être attaché et il ne doit jamais être sur le siège avant

Attacher son chien en voiture
Crash test – Chien volant en direc­tion de l’avant

Il y a au moins 2 rai­sons pour les­quelles il faut “atta­cher” le chien dans la voi­ture par des moyens par­ti­cu­liè­re­ment robustes :

  • Le chien non atta­ché “à la voi­ture” aura des décé­lé­ra­tions très supé­rieures à celles subies par la voi­ture ou par les pas­sa­gers atta­chés. De 5 à 10 fois plus. Ce qui signi­fie que votre chien subira des lésions internes ou externes pro­ba­ble­ment mor­telles (Voir ci-​dessus le 2ème para­graphe, les limites de résis­tance du corps. Nous connais­sons celles des humains. Celles du chien, en par­ti­cu­lier les organes internes, sont pro­ba­ble­ment identiques).
  • Le chien devien­dra un corps volant dans l’ha­bi­tacle, dont le poids sera énorme. S’il per­cute la tête d’un pas­sa­ger assis à l’a­vant, ce der­nier aura cer­tai­ne­ment “au mieux” un trau­ma­tisme crâ­nien et très pro­ba­ble­ment sera tué ou han­di­capé à vie. Ceci même avec un chien de 5 kg qui “pèsera” 69 kg au moment de la col­li­sion avec votre tête. Peut-​on sur­vivre après avoir reçu un “poids” de 69 kg sur la tête ?

Comment choisir les accessoires pour attacher votre chien dans votre voiture

Accessoir de transport pour chien
Cage plas­tique pour chien déman­ti­bu­lée lors de la décélération

Si le chien de 10 kg de notre exemple “pèse” 139 kg lors de l’im­pact, il tirera sur les “fixa­tions” des attaches qui le main­tiennent avec la même force de 139 kg (Encore une loi de la phy­sique : la réac­tion est tou­jours égale à l’ac­tion). En consé­quence, lorsque vous ache­tez une ceinture/​harnais pour atta­cher votre chien dans la voi­ture, une cage en plas­tique ou autre tel que filet ou barres, vous devez vous assu­rer de sa robus­tesse. Malheureusement, les fabri­cants ne donnent aucune valeur à ce sujet et ne garan­tissent abso­lu­ment rien quant à la robustesse.

Si vous dési­rez en savoir plus, nous avons fait un article spé­cial “TRANSPORT DE VOTRE CHIEN EN VOITURE EN TOUTE SÉCURITÉ” où nous abor­dons la qua­lité des acces­soires de main­tien des chiens dis­po­nibles sur le mar­ché, sur la base de crash tests fait par un orga­nisme spé­cia­lisé alle­mand et par le Touring Club Suisse. Les résul­tats de ces tests sont assez dépri­mants, avec des équi­pe­ments en vente sur inter­net ou dans les maga­sins canins, qui ne sont pas du tout à la hau­teur de la pro­tec­tion deman­dée et atten­due. A se deman­der si ces fabri­cants ont un jour entendu par­ler de masses, décé­lé­ra­tions et d’inertie.

Mettre votre chien dans le coffre et l’attacher pour la sécurité des passagers

Cage pour chien attachée dans le coffre d'une voiture
Cage acier atta­chée dans coffre

Le chien ins­tallé dans le coffre est le moyen le plus sûr de voya­ger en voi­ture avec son chien. En réa­lité, même lorsque le chien est dans le coffre, pour son confort et sa sécu­rité, il ne doit pas être être “libre” mais atta­ché, ou dans une cage pla­cée dans le coffre, elle même fixée au plan­cher ou struc­ture du coffre. Cela évi­tera le risque du “chien volant” placé sur le siège arrière, suite à la rup­ture du har­nais ou de la plage arrière, le peu d’ef­fi­ca­cité des filets et par­ti­tions ou une mau­vaise uti­li­sa­tion des l’ac­ces­soires de main­tien de votre chien.

Voir notre article “TRANSPORT DE VOTRE CHIEN EN VOITURE EN TOUTE SÉCURITÉ”, où cet aspect de voya­ger en voi­ture avec son chien, est abordé.

Transport du chien en voiture : rappel de quelques chiffres caractéristiques

Combien “pèsera” le chien en cas de col­li­sion fron­tale en fonc­tion de :

  • Vitesse de la voi­ture (km/​h et m/​s)
  • Poids de votre chien (kg)
Vitesse (km/​h et m/​s)13036110309025802260164011308
5 kg180150125110805540
10 kg36030025022016011080
20 kg720600500440320220160
30 kg990900750660480330240
40 kg144012001000880640440320
50 kg1800150012501100800550400

Ex : lors de la col­li­sion fron­tale d’une voi­ture à 90 km/​h, un chien de 20 kg pèsera en fait 500 kg et un chien de 50 kg, ce sera 1250 kg

Attacher son chien en voiture : ce qu’il faut retenir de ce qui précède

  1. La col­li­sion de front avec un camion est la plus dangereuse
  2. L’intensité du choc est fonc­tion de la vitesse et com­mence à être dan­ge­reux même à 50 km/​h
  3. Il est maté­riel­le­ment IMPOSSIBLE de rete­nir “à la main” un chien non atta­ché assis sur le siège arrière
  4. Le chien ne doit JAMAIS être ins­tallé sur le siège avant
  5. Le chien dans l’ha­bi­tacle sur la ban­quette arrière doit TOUJOURS être atta­ché ou dans une cage, elle même fer­me­ment main­te­nue (ou sur le plan­cher entre les sièges)
  6. La “fixa­tion” dans l’ha­bi­tacle du chien ou de sa cage doit être très, très solide
  7. La place du chien doit être de pré­fé­rence dans le coffre
  8. Même dans le coffre, le chien doit être atta­ché (Harnais, cein­ture spé­ciale) ou dans une cage solide, elle même attachée
  9. La cage est la solu­tion la plus “sécu­ri­sée” mais s’as­su­rer de sa robustesse

Pour com­plé­ter l’in­for­ma­tion de cette page, voir les résul­tats des “crash tests” fait sur les cages et les ceintures/​harnais pour le chien ” TRANSPORT DE VOTRE CHIEN EN VOITURE EN TOUTE SÉCURITÉ”.

Si habi­tuel­le­ment votre chien vous accom­pagne dans vos voyage, voir également :

VOYAGER EN AVION AVEC SON CHIEN – Préparer son voyage
PASSER LES FRONTIÈRES AVEC SON CHIEN : avec quels docu­ments ?
VOYAGER EN BATEAU AVEC SON CHIEN : croi­sière, tou­risme flu­vial, voi­lier, ferry-​boat …
VOYAGER EN TRAIN AVEC SON CHIEN : SNCF, Allemagne, Royaume Uni, Espagne, Italie ….

Référence

Sources
Les pho­tos de crash tests sont extraites des vidéos du labo­ra­toire alle­mand Adac (https://www.adac.de/) et du Touring Club Suisse (https://www.tcs.ch/)
Rapport du Touring Club Suisse : effets sur les chiens des col­li­sions de voi­tures – Voir https://www.tcs.ch/mam/Digital-Media/PDF/Booklets/cages-pour-transport-de-chiens.pdf
et éga­le­ment https://www.tcs.ch/fr/tests-conseils/tests/voitures-crash-tests/crash-tests/transport-de-chiens.php#anchor_96a7328f_Accordion-Harnais-de‑s – curit–
Rapport de l’Adac https://www.adac.de/)
https://www.dailymotion.com/4774a6df-3b68-48d4-bb08-2b035a462265

Conseils vété­ri­naires et réglementation
Les valeurs et conseils que vous pour­rez trou­ver sur ce site sont pure­ment infor­ma­tifs de leur exis­tence dans la lit­té­ra­ture spé­cia­li­sée. En aucun cas, les infor­ma­tions don­nées sur notre site ne consti­tuent une pres­crip­tion de trai­te­ment ou une allé­ga­tion. Ils ne peuvent pas se sub­sti­tuer à l’avis de votre vété­ri­naire ou du thé­ra­peute de votre chien. Seul votre vété­ri­naire peut poser un diag­nos­tic pré­cis et recom­man­der l’utilisation d’un pro­duit. Si tel n’est pas le cas, nous ne sau­rions être tenus pour res­pon­sables d’une prise inadap­tée des pro­duits pré­sen­tés ou cités.

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